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glycine, 55 ans, homme, Paris

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décembre 2024


novembre 2024


Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (138.1 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (10.1 km), Piscine Hébert (Paris) (6.7 km), Stade nautique de Vienne (St-Romain-en-Gal) (4.6 km), Piscine Pailleron (Paris) (4 km), Piscine de l'Odyssée (Chartres) (3.9 km), Annette K. (Port Javel Bas, Paris 15ème (M° Javel)) (3.8 km), Centre Aquatique à Chamalières (3.6 km), Aquavita (Angers) (3.6 km), Piscine du Pré Leroy (Niort) (3.5 km), Piscine Arago (La Roche-sur-Yon) (3.5 km), Centre balnéaire Raoul Fonquerne (Sète) (3.5 km), Centre Aquatique Balsan'eo (Châteauroux) (3.5 km), Centre aquatique Alfred Nakache (Sauvian) (3.4 km), Aquaparc Isis (Dole) (3.4 km), Piscine Guy Coutel (Bagnols-sur-Cèze) (3.4 km), Piscine des Amiraux (Paris) (3.4 km), Complexe nautique des Ramiers (Blagnac) (3.4 km), Piscine Joséphine-Baker (Paris) (3.3 km), Centre Nautique Etienne Gagnaire (Villeurbanne) (3.3 km), Centre aquatique Roger Julian (Millau) (3.3 km), Espace aquatique Fernand Bonnin (Seurre) (3.2 km), Piscine d'Arbois (3.2 km).


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Séances

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Décembre 2012 : (18200 m)
  • 3100 mètres le samedi 29 décembre (de 11h45 à 13h15) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Un peu plus de 3 km conformément à et pour maintenir ma moyenne annuelle légèrement au dessus desdits 3 km.
    J’ai profité de la longueur du bassin pour faire ma première pyramide. Une pyramide non pas chronométrique ni hectométrique, mais atmosphérique avec sur 500 m des respirations tous les 3, 5, 7, 9, 7, 5, 3 temps. Redescendu au pied de la pyramide il me restait pour atteindre le mur quelques rotations à achever qui finissaient de m’achever. Rhaaa, de l’air.
    Bon et puis ce qui aurait pu être un dernier bain à Hermant ne le sera probablement pas grâce au sursis. Ce n’est peut-être que reculer pour mieux plonger, mais c’est très bien dans la perspective de mon triathlon L de juin et sa natation de 3 km.
  • 2800 mètres le jeudi 27 décembre (de 15h45 à 17h15) à Piscine du Palais des sports d'Orléans - Maintenant que je connais toutes les piscines de Paris je m'attaque à celles d'Orléans la ville de mes parents, la mienne aussi pendant mes années lycée. Il y en a trois ça va être plus facile. La vérité c'est que je voulais aller à la piscine de La Source et son bassin de 50 m, que je connais déjà, mais elle est fermée pour vidange, c'est de saison. Donc repli sur la piscine de centre ville même si elle ne m'a jamais donné envie, car la troisième piscine orléanaise est une piscine d'été.
    Pas si mal finalement cette piscine sans vue mais à lumière naturelle. Un bon point notamment, on n'y a pied nulle part (je en tout cas), pas de salon de thé pour encombrer le mur.
    Pour un après-midi de vacances scolaires c'était pas la foule. Il y avait bien quelques jeunes de sept à dix-sept ans, mais surtout des hommes sans âge seuls, comme moi, là pour nager, comme moi.
    Quelque peu fébrile depuis Noël j'ai pourtant brassé, crawlé à l'endroit, crawlé à l'envers, mais pas papillonné, puisque je n'étais pas là pour me disperser. Maintenant je me sens complètement rétabli. Nager, une thérapie.
  • 2700 mètres le mercredi 19 décembre (de 12h45 à 14h15) à Piscine Emile Anthoine (Paris) - Depuis que j’ai vu dimanche qu’Émile Anthoine a rouvert je n’ai qu’une envie, aller aux champignons.
    Lundi ça n’a pas été possible, car à peine ouverte je me suis trouvé confronté à la fermeture hebdomadaire. Hier j’ai amené mes affaires au boulot, mais je n’ai pas pu m’absenter assez tôt pour profiter de l’étroit créneau d’ouverture. Aujourd’hui, jour d’horaires étendus, j’ai délaissé le bureau un poil plus longtemps que d’habitude, de 12 h 25 à 14 h 55, une paille, destination l’orée du bois – pour la cueillette de champignons –, non, l’orée du XVe.
    Pour souligner l’événement, je précise que je ne suis allé qu’une fois à la piscine un jour de travail pendant ma pause déjeuner, à Drigny, épouvantable, ça m’avait calmé. Et puis j’ai la crève aussi.
    Et pourquoi un tel empressement ? Pour boucler la boucle.
    Car peu m’importent les courbes de la grande dame qu’on voit par la baie vitrée ni que la piscine se nomme Paul Martin ou Victor Daniel. Robin Julien était la seule piscine parisienne que je ne connaissais pas. Maintenant c’est fait, j’ai fait les trente-huit.
    Donc peu importe le reste mais tout de même, au niveau baignade, trois lignes d'eau tirées pour quatre nageurs, chacun sa ligne. J’ai nagé intégralement seul dans ma ligne, à la verticale de la ligne du fond. Quel bon plan !
  • 3300 mètres le samedi 15 décembre (de 09h30 à 11h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Beaucoup de joggers le long du canal de l’Ourcq. Je les comprends, les conditions étaient idéales, une invitation à courir avec un ciel brouillé sans être mouillé et une brise canaline régénérant l’air parisien. Moi j’avais couru hier. Généralement le samedi je le réserve pour l’air vicié des émanations de chlore, et me mouiller dans une eau accueillante, 29 °C, un poil trop.
    Je me suis de nouveau perdu dans le décompte des longueurs, presque vingt-quatre minutes sur un kilomètre dos, probablement six longueurs de trop. Quand j’aime je ne compte pas bien.
    Adepte fut un temps des éducatifs, j’ai décidé de remettre ça. Je n’ai pas recommencé par des fioritures du type doigts effleurant la surface de l’eau, mais par des éclaboussures : crawl à un bras, l’autre bien sage le long du corps, le petit doigt sur la couture du pantalon.
  • 3300 mètres le samedi 8 décembre (de 09h30 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Décidément qu'il est délicieux de nager à Rouvet.
    Toutes mes séances sont vertes sur nageurs.com. Pas systématiquement pour l'affluence, même si je suis plutôt vernis de ce côté là, mais à chaque fois pour la nage. La vérité c'est que je ne fais pas que du crawl, mais aujourd'hui mon pull est vert, j'ai dit récemment que j'étais chloro-phile, et qui c'est les plus forts évidemment c'est les Verts.
    En ce moment mon dada n'est pas de monter sur le dos d'un cheval, mais de tourner le dos au crawl. Encore une qualité pour la natation par rapport à d'autres sports, essayez voir de rétropédaler ou courir à reculons.
    Vert mais tout de même mûr pour évaluer le fruit de mon entraînement, je me suis chronométré sur un kilomètre dos. Valant dix-huit minutes au mieux en crawl, 18 min 25 s ce matin, je m'imaginais autour des vingt minutes en dos-crawlé. Résultat 19 min 50 s, comme supposé, du bon côté du supposé.
  • 3000 mètres le jeudi 6 décembre (de 16h45 à 18h30) à Piscine de Pontoise (Paris) - Déjà au départ quand j’ai débarqué je me suis fait déplumer, car il m’a fallu débourser quatre euros cinquante pour me retrouver dans ce magnifique décor. Puis je fut déçu en découvrant que le bassin était le contraire de dépeuplé.
    Bien décidé à nager j’ai rejoint les cabines si pratiques pour se dégrafer et se déculotter, se déshabiller quoi. Je suis descendu aux douches. Puis détrempé, je me suis quand même désaltéré et j’ai déployé mes ailes dans la délicieuse eau du bassin pour y dérouler mon crawl.
    Dès le début j’ai constaté que le débit était débridé dans la ligne d'eau dédiée aux nageurs rapides, on aurait dit qu’il n’y avait pas de délimitation de vitesse. Certains déboulaient et déboîtaient, à en décoiffer le bonnet du nageur débonnaire. Ça dépotait dans ces eaux démontées . Alors je me suis dépêché, dégrouillé, démené, dépensé, défoncé, dépouillé, mais j’ai tout de même été dépassé par le débordement des talents déchaînés.
    Quel désarroi, quel dépit ! Je suis désemparé, démoralisé, déprimé de constater que ma débauche d’énergie fut vaine. Je fut désordonné et dégingandé au lieu d’être délié, décontracté, détendu et de soigner ma dégaine.
    Il est désagréable de se sentir un débris décati proche de la décadence. Je suis à la dérive, un déchet, de facto seulement bon pour décélérer, aller decrescendo, désapprendre… non je déconne, je me dédis pour la partie désabusé.
    Voilà dans le détails ce que j’avais à déclarer. Nager puis écrire, ça défoule, merci à mon déctionnaire – il y a des mots détonants qu'heureusement j'ai dédaigné utiliser –, je me déconnecte.

 

Novembre 2012 : (22100 m)
  • 3300 mètres le vendredi 30 novembre (de 11h30 à 13h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Day off, swim in.
    Ça vaut mieux que si j'avais écrit « pisse in ».
    Consulter sur le site ce matin les horaires des piscines de Paris m'a rappelé que  leur destination première est la population scolaire. J'ai donc rejoint la population salariée lors de sa pause de la mi-journée. Il n'y avait pas foule, ce coin du XIXe ne doit pas être un gros bassin d'emploi ou alors ses travailleurs ne sont pas chloro-philes. Tiens ! une vertu de plus pour la natation : c'est bon pour les dents.
    Après une période dynamique en crawl, je me suis détendu en m' étendant sur le dos. Je ne culpabilise pas quand je traînasse sur le dos, car je ne cherche pas la performance mais l'alternance. Et puis je m'amuse bien lors de la phase de poussée sur le mur. Ces ondulations dorsales sont visuellement bien plus sympa que le nez vers le bas : une féerie de lumières mâtinée – même si on nage le soir, j'ai testé – de reflets de soi, idéal pour les égocentriques. Elles sont aussi, ce que je ne m'explique pas, beaucoup plus simples techniquement.
    Précision pour les égocentriques, celles et ceux qui se regardent le nombril, ça fait bien travailler les abdos.
  • 3000 mètres le samedi 24 novembre (de 10h15 à 11h45) à Piscine Cour des Lions (Paris) - Dans la série redécouverte de piscines, je suis allé faire un plouf Cour des Lions. Sans surprise la clientèle était relax. À tel point que j’ai trouvé la présence d’un nageur véloce incongrue dans le bassin. Véloce, pas du mot « vélo » et qui pédale, y’avait de l’aquagym mais pas d’aquabike, rapide.
    Moi qui suis plutôt peu causant, je voulais quand même lui demander ce que diable il venait faire dans cette galère. Je me suis bien arrêté quelques fois au T, mais pas en même temps que le surnageur, mystère donc.
    Plus tard j’ai vu un bonnet nageurs.com, Marais d’après son compte-rendu. Chassez le naturel, il revient en crawlant. Je suis donc resté muet comme une carpe, à nager dans le monde du silence.
  • 3200 mètres le mercredi 21 novembre (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Pas vraiment un habitué de ce créneau du mercredi soir, mais je l’ai tout de même déjà pratiqué quelques fois, alors je suis blasé, je ne suis pas plus que ça impressionné par Les mouettes de Paris qui fusent dans le bassin. Quand je suis arrivé elles (les mouettes mâles et femelles) faisaient des sprints sur 25 m, ouais bon ça fait des remous quoi. C’est moins élégant que quand elles adoptent un rythme de fond où je me demande en plus comment elles font pour tracer avec cette facilité apparente.
    Donc elles n’ont pas perturbé ma mise en place des bouchons, du bonnet et des lunettes par contre j’ai pas compris quand le coach a annoncé : « 14-8, c’est bien Kevin ». Pas parce que c'est une drôle d'idée Kevin comme prénom pour une mouette, mais plutôt parce que qu’est-ce que c’est que ce coach... bien ? Moi qui croyais que les coachs de natation étaient tous des durs et des tyrans et que Kevin, c’est nul, mauvais… tu recommences.
    Plus tard après moult autres exercices elles ont battu des ailes pour de nouveaux sprints. Installé dans la ligne d'eau juste à côté des lignes du club, le hasard a voulu que je pousse sur le mur en même temps que la première mouette partant… j’ai touché le mur d’en face bien après que la troisième mouette partie une poignée de seconde après ses deux congénères plus rapides qu'elle ne fut arrivée. Et puis je ne peux pas dire que j’ai été gêné dans ma ligne, ni que j’avais dix bornes dans les bras. C’est une évidence, mais l’effet n’est pas le même vu depuis le bord au sec que mouillé la tête sous l’eau en train de frétiller. Rien ne vaut la réalité du bassin, je suis impressionné.
  • 3300 mètres le dimanche 18 novembre (de 11h15 à 13h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Arrivé fourbu avec des fourbatures. Probablement à cause du cocktail vélo plus gym d’hier. J’en avais eu des crampes dans mon fauteuil en regardant la télé hier soir.
    Donc tempo torpeur à défaut de torpille et rien pour me titiller. Au contraire, clientèle globalement de nageouilleurs dans les lignes d'eau. C’est à se demander s’il n’y en a pas qui ont appris à mollusquer en observant leur chien, ce qui est quand même plus malin qu’en s’inspirant du chat. Et dire que ceux là sont ceux qui vont à la piscine pour fréquenter les lignes théoriquement réservées à la nage ! je n’ose imaginer le niveau moyen de la population.
    Sur la fin, l’arrivée d’un éphèbe épilé à poils – pas tout nu, y’a un « s », barbu – dans la ligne d’à côté a relevé le niveau à un total de deux nageurs.
    Sinon une dame m’a étonné non pas par sa nage, convenable, donc je corrige le total de nageurs à trois ; mais par ses tatouages. Même bien conservée, gentleman je lui donnerais cinquante-cinq ans, le tatouage à son âge je trouve ça encore moins banal que chez les jeunots.
  • 3000 mètres le vendredi 9 novembre (de 17h30 à 19h30) à Piscine l'Inox (Olivet) - Séance vacances scolaires avec mes deux enfants et mes trois neveux, mais pas de plongeons, de baballe, ni d'exploration sous marine au programme. Je suis inscrit à nageurspointcom moi, du verbe nager pas barboter.
    Pour nager j'avais l' embarras du choix de quatre lignes d'eau possibles sur les cinq installées. Pour dire la vérité, la quatrième de ces lignes, inoccupée, était réservée aux « palmes et plaquettes ». Plus alphabète que méchant, j'ai respecté le panonceau et ai investi une ligne déjà occupée par un crawleur. J'aurais pu choisir la ligne d'à côté qui elle était occupée par une brasseuse. Tentant, mais bon, nageurspointcom du verbe nager. 
    Quelques longueurs après mon premier kilomètre, un club à investi deux lignes. Deux lignes, catastrophe ! Ben non, mon crawleur m'avait laissé seul et après le report on s'est retrouvé à trois dans la ligne, alors que c'était la foire d'empoigne dans les lignes club.
    Je rajoute à tout ça la beauté de la partie profonde de ce bassin en inox bien éclairé et le plaisir narcissique de l'ombre portée par les bras dans la partie peu profonde, ce fut sensass.
    Quand j'ai eu fini, les jeunes avaient froid et voulaient sortir. Dommage j'aurais bien joué à la baballe quand même ; alors finalement ils étaient près à continuer pour moi, mais aquabon, un satané cours d'aquagym nous a chassé du bassin ludique.
  • 2300 mètres le dimanche 4 novembre (de 10h45 à 12h15) à
    Zuiderbad (Amsterdam, Hollande)
    - Un fil de discussion récent se demandait, nous demandait, si notre inscription-participation au site nageurspointcom avait modifié notre consommation de piscines. Pour moi par bien des points, notamment mon envie d’en visiter. En week-end à Amsterdam j’ai donc sacrifié une visite de musée pour visiter une piscine… dans le quartier des musées.
    Séance loisir, mais tout de même tout crawl, un peu perdu dans le décompte de mes longueurs. Mes enfants m’ont annoncé, contents, avoir nagé un kilomètre. Trop forts les gamins, car à ce moment là on ne connaissait pas la longueur de la ligne d'eau qui finalement ne mesure que 23 m. Donc avec ses quarante longueurs le compte n’y était pas pour ma fille. Mon fils lui a fait un peu de rab pour que je corrige ses mouvements.
    C’est à ce moment là, en m’entendant, que les nageurs amstellodamois ont découvert le secret de l’espadon qui avait éclaboussé le bassin de toute sa classe : il est français.
  • 4000 mètres le jeudi 1 novembre (de 10h00 à 12h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Nouvelle tentative sur le kilomètre après avoir échoué pour deux secondes à passer sous les dix-huit minutes en bassin d’un tiers.
    Je triture mon chrono et hop je pars, vite, j’accélère, et je termine à fond. Clac sur le mur et clic sur le petit bouton en bas à droite pour arrêter le temps. « data » me dit mon chrono, m’enfin ! j’ai pas trituré comme il fallait au départ. Grrrmmbl.
    Je récupère, un nageur au bonnet blanc comme moi investit la ligne d'eau et se lance. J’admire sa gestuelle et je me persuade que lui et moi, c’est bonnet blanc et blanc bonnet. Je lui laisse un demi-bassin d’avance, un petit clic sur le bouton en haut à droite, et zou je repars. Je m’applique à bien gesticuler mais le bonnet blanc prend le large, alors je délaisse la manière et je bourrine jusqu’au clac sur le mur et le clic sur ma montre. « run » me dit mon chrono. Rogntudjuu ! moi c’est blanc benêt.

 

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