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glycine, 55 ans, homme, Paris
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mars 2025

février 2025

Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (142.4 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (13.1 km), Piscine de Pontoise (Paris) (11 km), Piscine Pailleron (Paris) (4 km), Piscine de l'Odyssée (Chartres) (3.9 km), Annette K. (Port Javel Bas, Paris 15ème (M° Javel)) (3.8 km), Aquavita (Angers) (3.6 km), Piscine du Pré Leroy (Niort) (3.5 km), Piscine Arago (La Roche-sur-Yon) (3.5 km), Piscine Hébert (Paris) (3.4 km), Piscine Garibaldi (Lyon) (3.4 km), Piscine Joséphine-Baker (Paris) (3.3 km), Centre nautique Tony Bertrand (Lyon) (3.3 km), Piscine de Joigny (3.3 km).
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Février 2013 : (16000 m)
- • 3200 mètres le samedi 23 février (de 09h45 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Le jour et la nuit par rapport à Drigny mercredi. Ben oui puisque Drigny c’était après 19 h 15 pour la nocturne et Rouvet à 09 h 45 pour la diurne, mais surtout pour tout le reste.
À commencer par l’eau laiteuse là bas, claire ici, en passant par les carreaux crasseux d’un côté, propres de l’autre, les douches tiédasses à l’ouest, chaudes à l’est, la bousculade à gauche, la tranquillité à droite. Sans compter que la piscine du jour est plus proche, avec un bassin plus long, des cabines-vestiaires, une lumière naturelle zénithale, et que je n’ai pas payé.
J’avais bien aimé ma soirée mercredi, c’est dire si ce matin j’ai passé un bon moment. - • 3000 mètres le mercredi 20 février (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Drigny (Paris) - Hermant fermée, direction Drigny malgré une fréquentation présumée élevée selon les comptes-rendus des mercredis précédents. Finie ma série de verts, 2013 vire à l’orange.
J’ai recoiffé mon bonnet habituel, que j’avais récupéré sur un triathlon. Il est cheap comparé au bonnet bleu bien épais de l’étoile de Martin et moins agréable à porter.
M’étant traîné lundi jusqu’à Decathlon, que j’ai plutôt tendance à fuir, pour y acheter le fameux élastique, je l’ai essayé. Pas facile surtout avec ce monde. Pour nager pas de problème avec le pull-buoy, plus délicat sans, mais possible sur quelques longueurs entrecoupées de pauses. C’est surtout là, au T déjà bien garni, que j’ai été empoté avec mes pieds liés. - • 3200 mètres le dimanche 17 février (de 10h30 à 12h45) à Piscine de Levallois (Levallois Perret) - « Vous payez ici, l’entrée est à six euros ou plus si vous voulez, en chèque ou en liquide » qu’on m’a expliqué dans le hall. Mouais, ben je viens pour faire un don sans rien en poche moi, bravo. J’ai été bon pour une promenade en ville à la recherche du quartier des agences bancaires, afin de braquer un DAB. Comme ça j’ai pu donner ce que je voulais.
Une fois enfin dans la place, beaucoup de bonnets bleus. Sous ces bonnets, dans les lignes d'eau, beaucoup de nageurs.com je présume. Drôle de sensation, je les connais, je vous connais puisque je vous lis. Pour autant ne connaissant pas vos bobines, à part un chansonnier versificateur que j’ai repéré, je ne sais quels étaient les prosateurs présents.
À un moment donné, un relais a été mis en place, 50 m chacun. Je me suis inséré dans la file et j’ai fait mes deux longueurs, comme une balle.
Hé ! j’avais rien compris, 50 m, c’était à la fois, mais à faire plusieurs fois. J’ai donc remis ça trois ou quatre fois plus tranquillement avec tout de même un aller-retour en papillon, l’aller aurait suffit.
Je mets du vert à cette séance. Attention gros succès, des nageurs, mais à la queue leu-leu derrière le plot de départ, donc « bassin avec peu de nageurs ». Et puis je n’ai que du vert depuis le début de cette année qui vire au noir à Paris avec la multiplication des fermetures.
Voilà, j’avais tiré au flanc l’année dernière, aujourd’hui j’ai rectifié le tir, comme une balle. - • 3300 mètres le mercredi 6 février (de 19h15 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Ma petite habitude à Hermant en configuration 25 m, c’est de me servir en matériel puisque je passe devant le bac pour me mettre à l’eau en bout de bassin. Pas de pull-buoy disponible ce soir dans le bac. Ça m’a donné l’idée d’essayer de nager comme si j’avais un pull-buoy, en gros les jambes inertes, pendant un kilomètre. J’ai eu l’impression de faire du bon boulot, pourtant je me doute bien que je dois faire quelques oscillations. Les quelques oscillations qui ont suffi à me maintenir à flot, je vais pleurer le jour où je mettrai un élastique. Après ce premier kilo réussi et un intermède papillon je me suis lancé pour un kilo plaquettes, copieux le programme, trop, j’ai eu les yeux plus gros que les épaules. Un peu atteint dans ma chair, j’ai quand même poussé jusqu’à mes trois kilomètres et quelques habituels.
- • 3300 mètres le samedi 2 février (de 20h00 à 21h45) à Piscine Roger Le Gall (Paris) - Je n’ai toujours pas mis le réveil pour aller dans une quelconque piscine à sept heures du matin ,mais ça y est, j’ai fait la nocturne de Le Gall. Pas jusque loin dans la nuit, j’ai seulement fait la matinée de la soirée. Il y a des gars qui arrivaient encore quand j’étais sous la douche à 21 h 30. J’ai donc vu le bassin clairsemé tous feux allumés, puis plongé dans l’obscurité, puis un enchaînement d’illuminations – c’est quel bouton déjà ? -, puis enfin l’éclairage subaquatique seul. Par contre je n’ai pas vu le moindre bonnet nageurs.com. Bon je suis un peu miro, mais depuis les nouveaux bonnets de l’été dernier, vous, enfin ceux qui le portent, êtes plus facilement repérables.
Ce que je retiens de cette séance, c’est les bavantes aller et retour à vélo. Il y a encore peu, j’avais trois vélos : un pour le sport, un beau – je trouve -, et un passe partout - pas pour faire le tour du monde en moins de quatre-vingt jours - qui ne craint rien. Il ne craignait tellement rien que je me le suis fait voler. Depuis quelques temps je suis donc parfois à Vélib. De chez moi, pour aller à Roger Le Gall, il me faut gravir la rue qui passe devant Georges Hermant et monter jusqu’à Georges Vallerey. Bien sûr au retour ce passage descend, mais il n’y a pas de miracle, c’est parce qu’il est précédé d’une petite grimpette. Il est lourd ce satané Vélib, surtout que j’avais décidé de n’utiliser que la troisième vitesse, le gros développement. Challenge tenu à l’aller, pas au retour, j’ai craqué. Ça, plus la nage quand même, je me suis bien dépensé.
Janvier 2013 : (22400 m)
- • 3300 mètres le samedi 26 janvier (de 09h15 à 11h00) à Piscine Rouvet (Paris) - C’est bien d’avoir des lignes brise-vagues à Rouvet, mais une fois de plus on ne peut pas dire que les quelques nageurs présents provoquaient de terribles remous. Ça barbotait ici, on était bien loin des conditions musclées qui règnent actuellement dans le Golfe de Gascogne. Dans ce bassin calme à peu agité, j’ai pu exploiter tout le potentiel de mon flotteur de corps.
Aucune avarie à signaler. 3300 m, j’ai pas fait le tour du monde non plus, et me voilà rentré à bon port. - • 3300 mètres le dimanche 20 janvier (de 09h30 à 11h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Plus de neige qu’hier, et plus de dérapages à vélo le long du canal. Plus de badauds, on ne se lasse pas du spectacle. Plus de photographes aussi, puisque j’ai pris mon appareil alors que je ne l’avais pas hier. Ça mitraillait encore à tout va, du portable au reflex sur trépied en passant par le compact comme le mien, n’en jetez plus.
Deuxième jour de natation de suite, ça faisait un bail. J’ai plus nagé qu’hier et avec plus d’intensité. Qui peut le plus, peut d’avantage. Ça ma bien plu, je devrais enchaîner les séances plus souvent. - • 3100 mètres le samedi 19 janvier (de 10h30 à 12h15) à Piscine Rouvet (Paris) - Raconter sa séance à la piscine c’est écrire une histoire d’eau. Je pourrais ainsi dire qu’à force de fréquenter Rouvet au même créneau hebdomadaire je commence à reconnaître certains visages, voire certaines fesses.
Aujourd’hui l’histoire d’H2O est sous la forme cristalline du flocon. Le manteau blanc qu’a revêtu Paris a embelli le déjà sympathique canal de l’Ourcq qui même à Rouvet. Amusant les pneus qui crissent, dérapent ou creusent un sillon dans la neige.
Une fois dans l’eau j’ai oublié l’ambiance du dehors jusqu’à ce que l’alarme se mette à sonner. Voyant les MNS interloqués j’ai accéléré, je peux, pour gratter quelques longueurs, il me manquait au moins 800 m à faire. Mais l’alarme a continué sa douce musique et les nageurs leurs douces glissades. Dommage, s’il avait fallu évacuer le bâtiment fissa, on se serait retrouvé nu pieds en maillot à faire des glissades sur la neige. - • 3100 mètres le samedi 12 janvier (de 09h45 à 11h30) à Piscine Rouvet (Paris) - Y’a des rameurs sur le bassin de la Villette le samedi matin. C’est joli, dommage que le bassin soit un peu court pour le rameur. C’est comme un bassin de 25 m pour le nageur. C’est même pire, car le demi-tour dans ces embarcations est moins facile que de poser la mimine sur le mur ou que de passer cul par-dessus tête avec une demi-vrille.
Ça se passait bien dans le bassin de 33,33 m de Rouvet jusqu’à l’arrivée d’une dizaine de mâles, y’avait de la viande, de la viande tatouée, pure race, des bêtes de concours. Un bus de chippendales ? que nenni, des pompiers qui avaient tombé les combinaisons ignifuges. Une ligne d'eau leur a été réservée. Ça a désolé un nageur, musculeux aussi, qui a fui avant de mesurer les effets de la réquisition. Franchement son dépit était exagéré, les deux lignes restantes ont suffi à l’écoulement des rares nageurs. Et puis cet afflux d’hormones a plus dynamisé le bassin que l’habituel aquagym planplan qui avait lieu en même temps.
Ah et je ne sais pas si j’ai déjà dit qu’ici les cabines sont confortables. - • 3200 mètres le mercredi 9 janvier (de 19h30 à 21h00) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Alors là, j’ai mis de la variété comme jamais. Pourtant sur deux nages seulement, crawl et dos-crawlé. La seule constante fut l’entrée en matière, 1 km crawl tranquillou, à 99 % de mon potentiel. Ensuite j’ai enchaîné avec cinq fois 100 m rapidou, entrecoupé de suffocations en bout de bassin. Puis je suis allé me servir dans le bac à matériel en plaquettes et pull-buoy et j’ai multiplié les combinaisons entre nages et équipements. C’était pour me mettre, un peu, au diapason des clubs qui n’arrêtent pas de s’arrêter pour s’équiper de ceci ou cela. Une heure plus tard je suis encore tout excité par ce rythme effréné.
- • 3100 mètres le samedi 5 janvier (de 10h15 à 12h00) à Piscine Rouvet (Paris) - Oui au sport le week-end, mais non au survêt. « L’élégance est dans le match » clamait une marque de prêt à porter sportive dans les années quatre-vingt-dix, pas si distinguée que ça d’ailleurs. Donc j’ai mis mon pantalon en flanelle, et les cheveux en bataille et pas rasé, j’ai pris la direction de la piscine. Dans cette tenue je suis bien content d’être allé à Rouvet, car je répète que les cabines-casiers sont idéals pour se changer et ranger ses vêtements. Je n’ai pas eu à chiffonner mon beau pantalon pour le caser dans un casier, ni craint de perdre ce que j’ai de plus précieux après mon maillot, mon bonnet et mes lunettes, et que je range dans mes poches.
Deux gardons nageaient plus vite que moi, un sûr, l’autre c’était kif-kif. Pourtant ils n’étaient pas bien frais ces gardons. Rouvet c'est un peu l'étal d'Ordralfabétix, le poisson n'y est pas bien frais. Mais attention, les irréductibles nageurs s'y baignent en bonne entente. - • 3300 mètres le mercredi 2 janvier (de 19h00 à 20h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Et de une. Après vingt-cinq séances et quatre-vingt six kilomètres à Georges Hermant en 2012, c’est reparti pour 2013.
Dès la deuxième longueur, je double un crawleur qui me ralentit. 100 m plus loin il profite du fait que je marque un court arrêt au T pour laisser passer le troisième wagon-nageur de notre train pour me redoubler. Me revoici marri dans ses pieds. Je me traîne mais décide de rester à la traîne, ce n’est que le début de ma séance et je me persuade que ça me fera un échauffement.
Finalement, le gars a accéléré et s’est avéré être une bonne locomotive ce qui m’a motivé à rester dans son sillage pendant presque deux kilomètres. Quand la locomotive a regagné une voie de garage, j’ai même continué sur ma lancée et bien lancé cette nouvelle année natatoire.
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