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glycine, 55 ans, homme, Paris

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novembre 2024

octobre 2024

Ces 6 derniers mois, glycine a nagé dans les piscines suivantes : Piscine Georges Hermant (Paris) (109.5 km), Piscine Georges Vallerey (Paris) (24.5 km), Piscine de Pontoise (Paris) (7.2 km), Piscine des Amiraux (Paris) (6.8 km), Stade nautique de Vienne (St-Romain-en-Gal) (4.6 km), Piscine Pailleron (Paris) (4 km), Piscine de l'Odyssée (Chartres) (3.9 km), Piscine La Source (Orléans) (3.8 km), Aquavita (Angers) (3.6 km), Centre Aquatique à Chamalières (3.6 km),

Le Point d'Eau Centre aquatique sportif et de loisirs de la Ville de La Louvière (La Louvière , Belgique) (3.5 km), Centre Aquatique Ovive (Ecrouves) (3.5 km), Piscine Arago (La Roche-sur-Yon) (3.5 km), Piscine du Pré Leroy (Niort) (3.5 km),

Piscine Louis Namèche (Bruxelles, Belgique) (3.5 km), Centre balnéaire Raoul Fonquerne (Sète) (3.5 km), Centre Aquatique Balsan'eo (Châteauroux) (3.5 km),

Piscine de la Dodaine (Nivelles, Belgique) (3.5 km), Centre aquatique Nungesser (Valenciennes) (3.5 km), Piscine Guy Coutel (Bagnols-sur-Cèze) (3.4 km), Complexe nautique des Ramiers (Blagnac) (3.4 km), Aquaparc Isis (Dole) (3.4 km), Aqualens (3.4 km), Centre aquatique Alfred Nakache (Sauvian) (3.4 km), Osmose - Centre aquatique du Grand Longwy (3.4 km), Aquasport Nancy Thermal (3.4 km), Centre aquatique Roger Julian (Millau) (3.3 km), Centre Nautique Etienne Gagnaire (Villeurbanne) (3.3 km), Piscine Hébert (Paris) (3.3 km), Piscine d'Arbois (3.2 km), Espace aquatique Fernand Bonnin (Seurre) (3.2 km).

Voir toutes les séances sur une carte.

Séances

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Novembre 2023 : (50800 m)

• 3800 mètres le jeudi 30 novembre (de 12h00 à 13h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Couloirs de nage matériel et crawl intervertis par rapport à d'habitude, et les extravertis de signaler l'interversion aux habitués qui n'avaient pas vérifié les attributions des couloirs.
• 4000 mètres le mardi 28 novembre (de 12h00 à 13h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Quatre bornes au compteur. Ça m'est donc possible dans ce créneau horaire borné, si je ne m'entête pas à nager les quatre nages en me limitant au crawl et au minimum de papillon auquel je tiens mordicus.
• 3700 mètres le vendredi 24 novembre (de 12h00 à 13h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Du trop et du pas assez, de monde - de vitesse.
• 3500 mètres le mercredi 22 novembre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Pire chrono ever sur le premier kilomètre. Pourtant j'ai continué, faut-il que j'aime nager ! Ça s'est arrangé, je suis aimé en retour par la natation.
• 3600 mètres le lundi 20 novembre (de 17h15 à 19h00) à Piscine des Amiraux (Paris) - Piscine puis musique de retour à la maison. Après Bach l'autre jour, Philip Glass ce soir, compositeur réputé pour ses œuvres au style répétitif. L'analogie avec la natation est saisissante. Outre le caractère répétitif, équivalent au recommencement des mouvements cycliques des nages, les chanteurs se mettent parfois dans des états de transe pas possible avec un engagement total, l'équivalent du papillon. D'autres fois des ruptures de ton ou de rythme peuvent être assimilées aux doublements, demi-tours, changements de nages ou pauses. Et globalement, l'effet sonore est enivrant, au même titre qu'une belle séance rend euphorique.
Par contre, Là où cette musique diffère de ma natation, c'est son côté speed, les musiciens tiennent une cadence dingue, que je ne soutiendrais pas plus d'une longueur, et qui ferait trop d'éclaboussures. À forte dose ou forts décibels, ça peut faire mal à la tête comme – et je reviens à l'analogie – quand ces saloperies de lunettes de piscines sont trop serrées.
• 3600 mètres le samedi 18 novembre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Souple et gainé, vif et puissant, donc rapide, super... un gars dans la ligne d'eau d'à côté.
• 3600 mètres le jeudi 16 novembre (de 12h00 à 13h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. Ça ne risquait pas aujourd'hui. Même avec la meilleure volonté du monde, je n'aurais pas pu aligner ma vitesse au niveau des précipitations qui nous ont arrosés.
• 3600 mètres le mardi 14 novembre (de 12h00 à 13h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Je pourrais être heureux du peu de monde présent sur cette séance du créneau de la mi-journée en semaine habituellement chargé, si nager ici et maintenant ne témoignait pas d'un comportement singulier, et ainsi ne confirmait ce que j'ai déclaré dimanche lorsque j'ai indiqué me sentir en marge de la société.
• 3500 mètres le dimanche 12 novembre (de 10h45 à 12h45) à Piscine Georges Hermant (Paris) - C'est au moment précis où j'ai trouvé les effluves des produits d'hygiène alentour agaçantes, presque malodorantes, que mes voisins de douche ont cru bon souligner combien la bonne odeur de leurs shampoings leur était agréable.
Ce pourrait être amusant, si cette situation de décalage, voire d'antagonisme, avec les pratiques et pensées de mes congénères n'était pas si fréquente.
• 3500 mètres le vendredi 10 novembre (de 17h30 à 19h15) à Piscine Hébert (Paris) - Je crois que ça fait longtemps que je n'ai pas commenté ma nage. En ce moment, je suis focus sur mes nages, les quatre. Le contenu de mes séances oscille toujours entre deux tiers et neuf dixièmes de crawl, mais je pratique les nages alternatives avec plus de sérieux, pas seulement en tant qu'ingrédient de diversification (dos-crawlé), de détente active (dos-crawlé et brasse) ou de calvaire (papillon). J'en espère des progrès en brasse, où y'a clairement la place pour une amélioration technique.
• 3700 mètres le mercredi 8 novembre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Georges Hermant (Paris) - Si j'avais demandé quelle avait été la nature du problème technique ayant occasionné la fermeture de Georges Hermant depuis septembre, ça m'aurait fait matière à commentaire... ne pas avoir demandé aussi.
• 3400 mètres le lundi 6 novembre (de 17h15 à 18h45) à Piscine des Amiraux (Paris) - Ça causait grignotage au niveau du déchaussage, les prétendus méfaits du grignotage entre les repas. Le grignotage je connais, je grignote souvent, comme aujourd'hui un shoot de sucre avant la piscine, miam, et pendant la piscine sur les nageurs qui me précédaient.
• 3500 mètres le samedi 4 novembre (de 15h30 à 17h15) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Natation à Nakache, donc en petit bac, puis de retour à la maison, récupération en écoutant de la musique, le grand Bach, Jean-Sébastien.
• 3800 mètres le jeudi 2 novembre (de 15h45 à 17h30) à Piscine Hébert (Paris) - 3,8 km dont 3,3 km non-stop... euh mais j'y pense, la vitesse de déplacement du corps repasse à zéro à chaque demi-tour. Peut-être pas tout le corps, certaines parties conservant une vitesse verticale et-ou latérale, mais au minimum les pieds qui poussent sur le mur marquent un temps d'arrêt. Pour 3,3 km, en petit bassin, ça fait 131 stops – en plus du dernier, le véritable arrêt –, et heureusement qu'il ne s'agit pas de stops écrits en lettres capitales blanches sur fond rouge, où il faut regarder à gauche et à droite avant de repartir.

Octobre 2023 : (57100 m)

• 3500 mètres le mardi 31 octobre (de 17h00 à 19h00) à Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) - De nuit sous la pluie, dans le bassin nordique éclairé par des spots immergés, les gouttes scintillaient au contact de la surface. Le crépitement était visible aussi bien tête dans que hors de l'eau, une féerie dans ce lieu merveilleux, wonderpool !
• 3400 mètres le dimanche 29 octobre (de 16h15 à 18h15) à Piscine Les Bains des Docks (Le Havre) - Les bateaux qui participent à la transat Jacques Vabre et qui viennent de quitter les pontons des docks du Havre - ou pas, un micmac météo-organisationnel confine les IMOCA au port - sont répartis en quatre classes : Class40, CLASS ULTIM...
Quant à la piscine Les Bains des Docks, c'est la classe.
• 3600 mètres le vendredi 27 octobre (de 14h15 à 16h00) à Piscine de la Cerisaie (Elbeuf) - La Cerisaie, c'est une fameuse pièce de théâtre, mais également le nom d'une pièce d'eau située à Elbeuf. J'ai mis mon costume de bain pour y jouer en matinée - c'est à dire cet après-midi - le rôle du nageur.
• 3600 mètres le mercredi 25 octobre (de 16h15 à 18h15) à Espacéo L'Odyssée (Aulnay-sous-Bois) - J'ai testé une nouvelle piscine et avec un nouvel équipement aquatique, l'AquaClimb. Comme son nom le laisse supposer, il s'agit d'un mur d'escalade les pieds dans l'eau. Il est installé au bord de la fosse à plongeons, en léger dévers au dessus de l'eau, muni de prises saillantes et pas très haut, donc faisable. Eh bien non, pas par moi, je suis tombé de bas, rien dans les doigts.
• 3800 mètres le lundi 23 octobre (de 11h30 à 13h15) à Piscine Alfred Nakache (Paris) - Conditions idéales à mon arrivée, ce qui sur le moment m'a fait regretter de n'être pas venu plus tôt, car j'ai craint un débarquement massif de salariés du quartier à l'heure de la coupure de la mi-journée. Le débarquement, même minime, n'a pas eu lieu, à ma plus grande satisfaction, à mon étonnement aussi.
Je fais l'étonné, mais j'ai une explication qui va au-delà de l'argument météo du crachin : Nakache est fermée le lundi en période scolaire. Métro, boulot, à l'eau, c'est pas dans les habitudes lunaires des travailleurs bellevillois têtes en l'air qui ne brillent pas par leur réactivité ni leur capacité d'adaptation.
• 3700 mètres le samedi 21 octobre (de 11h15 à 13h00) à Piscine Hébert (Paris) - Si je faisais un décompte de ma fréquentation des piscines du Nord-Est parisien depuis plus de dix ans, je constaterais certainement qu'Hébert est une de celles dans lesquelles j'ai le moins nagé.
Pourquoi si ? J'ai les données, je liste les piscines autour de la zone et je les classe.
Donc, il y a douze piscines municipales parisiennes à moins de 3 km autour de chez moi – plus deux en banlieue –, quel luxe ! Bon, en ce moment trois sont fermées (dont les deux de 50 m) pour de longues durées, mais il en reste, sans compter celles qui ne sont guère plus loin. Les voici classées en ordre décroissant de nombre de séances :
– Georges Hermant, le top, au top, à elle seule deux fois plus de séances que les autres réunies ;
– Rouvet, ma destination de prédilection pendant la fermeture de Georges Hermant de 2013-2015 ;
– Georges Vallerey, 50 m ;
– Alfred Nakache, il y a eu une période où j'allais à Nakache à la nocturne du jeudi ;
– Amiraux, pour le cachet et la nocturne du lundi ;
– Mathis, en général lignes d'eau clairsemées ;
– Paul Valeyre, claquemurée en sous-sol ;
– Catherine Lagatu, claquemurée en sous-sol ;
– Georges Drigny, claquemurée en sous-sol ;
– Château Landon, architecture chouette, mais bassin étriqué ;
– Édouard Pailleron, la plus proche de chez moi, mais couloirs de nage étroits et hors abonnement trimestriel municipal ;
– Hébert, super !
– Cours des Lions, à chaque fois congestionnée.
Au vu de ma séance de ce matin, faible fréquentation, bassin lumineux, et j'avais la forme, Hébert mériterait une meilleure position.
• 3400 mètres le jeudi 19 octobre (de 17h15 à 19h00) à Piscine Marie-Marvingt (ex Saint Merri) (Paris) - Attention et concentration de chaque instant pendant cette séance. Pas pour éviter de m'égratigner du côté petit bain et ses 60 cm de profondeur – 60 cm annoncés, mais je pense qu'il y a moins, ce qui n'a pas empêché une jeune femme d'utiliser l'échelle pour rentrer dans l'eau, d'ailleurs cette échelle possède-t-elle ne serait-ce qu'un barreau ? –, le revêtement en inox étant lisse – il est même grumelé pour éviter la glisse –, concentration pour compter les longueurs, car j'avais laissé aux vestiaires celui qui m'aide dans cette tâche, mon lap counter.
• 3500 mètres le mardi 17 octobre (de 17h30 à 19h15) à Piscine Paul Valeyre (Paris) - Ma séance dimanche à Orléans raviva le souvenir d'une autre nage à la piscine en famille nombreuse, évènement rare. Cet après-midi à Paris je suis allé seul à la piscine, mais ensuite nous avons dîné en fratrie – plus quelques-uns de nos rejetons.
• 3500 mètres le dimanche 15 octobre (de 10h45 à 12h30) à Piscine La Source (Orléans) - Deuxième fois que je nage à La Source après la réhabilitation de 2018-2020. La première avait été une sortie familiale pas assez natatoire pour justifier la publication d'une séance sur nageurs.com. Elle reste pourtant mémorable, car elle fut l'occasion de retrouver les quatre membre de ma fratrie au complet – plus beaucoup de nos rejetons – à la piscine, la précédente fois remontant à notre enfance.
Je confirme la bonne impression que m'avait laissé cette version deux de la piscine, notamment car elle restitue l'identité architecturale caractéristique de la version un.
• 3800 mètres le vendredi 13 octobre (de 17h30 à 19h15) à Piscine Jean Taris (Paris) - Un type m'a demandé du shampoing sous les douches. Je lui ai dit non.
C'est – mention au choix – parce que je suis pas sympa ; parce qu'en demander est indélicat, on est négligent, on s'en passe.
• 3800 mètres le mercredi 11 octobre (de 16h15 à 18h00) à Piscine Georges Rigal (Paris) - Ce n'est pas parce que je suis sans emploi que je ne m'emploie pas à la piscine.
• 3500 mètres le lundi 9 octobre (de 16h45 à 18h30) à Piscine des Amiraux (Paris) - Avant-hier j'étais à Mathis alors qu'elle rouvrait suite à une longue période de travaux, l'aspect de certaines parties de la piscine laissant penser à des travaux inachevés.
Aujourd'hui j'étais aux Amiraux, plus de cinq ans après une restauration remarquable. Cette restauration a bien vieilli. Pour ce qui est des usures visibles, je ne vois que les portes en bois des toilettes qui ont été fortement attaquées par l'humidité. Je ne dis pas que certains visent à côté – il faudrait qu'ils soient très maladroits pour occasionner de tels dégâts –, c'est à cause de la proximité avec les douches.
• 3600 mètres le samedi 7 octobre (de 16h00 à 17h45) à Piscine Mathis (Paris) - Jour de réouverture de la piscine Mathis après de gros travaux. J'ai tout de suite été cueilli dans les vestiaires par un type consterné : « Deux ans de travaux, vous avez vu les toilettes ? et la rouille partout sur les tuyauteries ? ». C'est vrai qu'on est loin de l'effet whaou et que les vestiaires – point noir de l'expérience Mathis avant travaux – n'ont été que superficiellement rafraîchis. Certains casiers et certaines portes de cabine sont HS, ce qui ne fait pas très sérieux. Certes la rénovation visait avant tout à réduire les consommations d'énergie et d'eau, ce que j'ai en vain essayé d'expliquer au type dépité, mais quand on lit dehors sur l'affiche qui explique le pourquoi du chantier, que les vestiaires font partie du périmètre de rénovation et que le montant total des travaux s'élève à cinq millions d'euros, y'a de quoi être déçu par le rendu.
• 3600 mètres le jeudi 5 octobre (de 16h30 à 18h15) à Piscine Yvonne Godard (Paris) - Y'avait quelqu'une qui devait être pressée de nager, car en attendant l'ouverture de la piscine, elle s'est coiffée de son bonnet de bain à l'extérieur. Plus exactement ses bonnets, deux. Un premier en tissu maille au contact des cheveux et par dessus un autre en silicone. Deux, c'est tout ? Elle avait pas aussi dans son garde-chapeau le bonnet de bain en caoutchouc gaufré ?
• 3500 mètres le mardi 3 octobre (de 17h00 à 18h45) à Piscine Cour des Lions (Paris) - Y'a-t-il eu une longueur où je n'ai pas doublé ? Oui, mais pas beaucoup plus, et ce n'est qu'un bassin de 25 m.
• 3300 mètres le dimanche 1 octobre (de 11h15 à 12h45) à Piscine Catherine Lagatu ex Parmentier (Paris) - La piscine Catherine Lagatu est située en sous-sol, en sous-école, sous l'école Parmentier. Or le soubassement de l'école Parmentier côté rue Alibert accueille une fresque, du street art, intitulée « Flottant comme une méduse ». Préfiguration à la configuration dans la piscine en dessous ? Non. Il y avait bien une méduse dans le couloir de nage « rapiiiide » au début, mais elle a fui vers d'autres eaux, probablement par peur de l'espadon, son prédateur, qui venait d'investir ce couloir.