Détail de la séance de papillonista du mardi 21 février 2012 , à la piscine Suzanne Berlioux.
distance | temps | type | équipement | remarques | intensité | récup | |||
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3.2 km | - | 4 nages | - | - | ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() | - |
total : 3.2 km.
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J'en ai mis du temps à les faire, ces 3200m.Ce fut une rude bataille qui se mena à Berlioux, arrivée juste un peu trop tard, un trafalgar en miniature, avec 2 balaises qui ne faisaient pas de quartier dans le rôle des vaisseaux Téméraire et Victory, toujours en double file, j'avais tant de mal à ne pas me faire écharper que je levais les épaules à la verticale, prête à baisser immédiatement la main si une plaquette
coupante venait à sa rencontre...Il y avait, dans les lignes, non pas 2 files, mais 3 tout du long(Voire 4).Et dans le rôle de l'amiral Nelson, la grande fille du Racing qui faisait de la planche en pap dans ce maelstrom, et qui trépassa à la fin, tout comme
moi,nous n'étions que des pauvres filles en minorité... nous jetâmes l'éponge(En
rigolant tellement c'était "Fight"!).
A propos d'Amiral Nelson et de Lady Hamilton, un livre superbe qu'on ne peut lacher, "L'amant du volcan" de Susan Sontag.Quand en plus on a vécu dans le sud de l'Italie...
Donc c'était le b... conflictuel et on fonçait en pleine obscurité chez Suzie, on a bien compris que toutes les piscines de 50 étant en berne,tout le monde s'était
rabattu sur Berlioux...Vivement qu'ils reconstruisent Molitor, ou ce qu'ils veulent,
mais par pitié, pas de bassin en forme de guitare ou de 43,50m...50 ou rien svp.
Fonctionnel
A la recherche des paddles perdues: Voila qu'un copain arrive - Me hissant sur le berge, j'abandonne à leur sort tout ces chevaliers
en armure pour discuter avec le marcheur des Andes qui me confie qu'il avait oublié
ses plaquettes hier sur le bord...Halte-là, lui dis-je, je les vis en partant et les ai
signalées au MNS comme probablement oubliées, et comme je fus pratiquement la
dernière à quitter les lieux...Le jeune homme demande à tous les MNS, on ouvre des
placards, on regarde, personne n'a rien vu, n'a rien trouvé...je retourne à l'eau pour
un raound, et le marcheur infatigable,déçu, commence une longue série d'exercices à sec,l'air malheureux...
Il est comme moi, il déteste perdre quelque chose, même de peu de valeur(je perds un élastique, je fais un malaise!)
Quelques temps après, je le rejoins de nouveau,on discute, on se promène un peu ça et là, et tout d'un coup, que voit-on? Des plaquettes dans un coin paumé, (L'angle
où sont entreposés les plancjhes et pull-buoys),.Et c'était bien elles, enfin, on croit,il était tellement content qu'il n'était pas sur... identiques en tous cas...Mais le plus curieux, c'est que quand il est arrivé, il a regardé partout, et elles n'y étaient
pas...Et moi-même j'avais pris un pull-buoy, il n'y avait rien...Mais oui,c'est bien
les siennes, il a reconnu l'usure...Il va les marquer.(Quelques fois, quand on retrouve quelque chose qu'on a perdu, ça semble différent bien que familier, on remarque de nouvelles choses)...réapparition des plaquettes, trés bien...On
demande maintenant la multiplication des plaquettes!
Et après j'ai marché jusqu'à la Bastille en passant par la place des Vosges,en regardant les galeries d'art(de trés belles choses, sculptures qui me plaisent).
Klabur: J'ai hésité entre Baker et Berlioux tu l'as Echappé belle...
Ah, et puis...Ca y est...Les ouvriers mettaient des barrières autour de la charmante
place en creux devant Saint Eustache...Ca y est, ils vont casser tout ça...Ca me rend trés...C'est tellement stupide, il n'y a pas d"autre mot.Gachis de temps, gachis d'argent.(Gachis ici et on va lésiner et faire au rabais, après, sur d'autres chantiers...)
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