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Fishette, 52 ans, femme, Paris

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Séances

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Avril 2014 : (15230 m)
  • 1750 mètres le dimanche 27 avril (de 13h20 à 14h20) à Piscine Jacqueline Auriol (Paris) - Le dimanche n'est pas un bon jour pour nager. C'est une chose de le dire, une autre de l'expérimenter. Aujourd'hui, je me casse le nez à Hébert, fermée pour cause de grève. Direction Beaujon donc, aurai-je la chance de tomber sur un créneau peu fréquenté, comme la dernière fois ? Hélas non...


    J'ai mal senti cet entraînement dès mon arrivée et un coup d'oeil à la belle vue plongeante sur le bassin : du monde et surtout cette espèce d'anarchie poussive dans les lignes, symptomatique d'une absence totale de répartition de nage et/ou niveau par ligne. Pourtant, la séance n'avait pas trop mal commencé. Rencontré NicoNocturne en version diurne, naufragé de Bébert comme moi, et réussi à faire l'échauffement sans trop de problème.

    Et puis sans crier gare, ce fut la Grande Invasion de méduses, d'un seul coup et sans aucune parade possible, il y en avait trop et trop d'un coup.
    Comme il est devenu très rapidement impossible de faire ne serait-ce qu'une longueur entière sans incidents divers, j'en ai profité pour faire quelques observations sur cette espèce très commune des bassins parisiens, plantée au T. J'ai découvert plusieurs choses intéressantes. Spontanément, la méduse n'est pas grégaire, elle semble peu apprécier d'être regroupée avec ses semblables dans un endroit délimité. Lorsqu'on lui en laisse l'occasion, la méduse se laisse dériver au fil du courant et colonise irrésistiblement toutes les lignes, jusqu'à transformer le bassin entier en grand nawak.

    La méduse a également une heureuse nature. Elle ne doute ni de son bon droit à occuper l'espace aquatique, ni de ses propres capacités d'objet nageur. Alors qu'un spécimen sans lunettes et palmes aux pieds se glissait dans la ligne où j'évoluais à peu près sans heurts avec d'autres nageurs du même niveau, j'ai essayé le plus suavement possible de lui indiquer la ligne d'à côté, où se trouvaient déjà pas mal de ses semblables. Réponse de la dame : "Oui, mais à côté, c'est les lents, moi je suis rapide"... avant de se lancer dans une brasse mémé, toujours les palmes aux pieds... Après quelques minutes de cohabitation difficile, j'ai commencé à imaginer toutes les façons possibles de transformer une paire de palmes en objet contendant... A ce stade de ma réflexion, j'ai préféré changer de ligne où je suis tombée sur une bis repetita, sans palmes mais aussi dévoreuse d'espace que sa jumelle palmée.

    Bref, des conditions d'entraînement imbuvables, comme je n'en avais plus eues depuis bien longtemps, j'ai fini par jeter l'éponge. Seule bonne nouvelle de cette séance calamiteuse, un nombre de coups de bras qui a encore diminué en crawl. Il y a un an, je n'atteignais ce nombre qu'exceptionnellement et au prix d'un effort qui me laissait exsangue au mur. Aujourd'hui, je l'ai répété sans me mettre dans le rouge. Comme quoi un an d'acharnement thérapeutique, heu sportif, ça finit par donner des résultats même à mon âge canonique.
    Heureusement aussi qu'il y avait le bain à bulles dont les remous et les reflets irisés ont fini par diluer ma relative mauvaise humeur. Mais ça ne me fera pas changer d'avis : le dimanche à l'heure du déjeuner à Beaujon, c'est non.
  • 3000 mètres le mercredi 23 avril (de 13h25 à 14h50) à Piscine Hébert (Paris) - Bébert a sorti le grand jeu pour mon retour : toit ouvert, une partie du bassin directement exposé à la lumière du soleil et la ligne pour moi toute seule pendant plus de la moitié de ma séance... Génial !
    Ambiance de vacances, deux mns sur trois qui portaient... des lunettes de soleil ! Vont bientôt se la jouer Alerte à Malibu à ce rythme...


    Tapé la conversation avec un habitué au T. Il m'a raconté qu'il pratique le yoga et la méditation depuis plusieurs années, que ça lui fait beaucoup de bien, mais qu'il n'est jamais aussi détendu que lorsqu'il sort d'une séance de natation. Quel est donc le secret de ce sport ? Est-ce que ça tient seulement aux endorphines ou il y a un mystère plus profond derrière... Question sans réponse, mais ô combien intéressante...

    Bonne séance, à mon rythme. J'ai profité d'avoir ma ligne privative pour travailler un peu les culbutes. Constat (et ce n'est pas la première fois) que je suis bien plus à l'aise en culbute dos qu'en culbute crawl, ce qui me surprend beaucoup. Il est vrai que le dos et moi, on est en amour depuis quelques temps.

  • 3100 mètres le dimanche 20 avril (de 13h55 à 15h15) à Piscine Jacqueline Auriol (Paris) - Hum, avec Bébert qui continue à jouer la piscine Sanzot pour cause de vidange, Château Landon qui rejoint le camp des rebelles de la grève-du-dimanche et d'autres bassins auxquels je pensais mais qui sont soit fermés, soit probablement pris d'assaut, les possibilités d'aller nager le dimanche à Paris me donnent l'impression de se réduire comme peau de chagrin...

    Qu'importe, c'est le contexte idéal pour partir en exploration. Direction la dernière née des pistoches parisiennes, Beaujon, dont je ne connaissais pas encore la frimousse. Ben elle est chouette, la petite nouvelle ! Toute neuve bien sûr, ce qui est très appréciable dans Paris intra muros, mais surtout l'espace a été assez génialement exploité : des ouvertures partout sur l'extérieur et beaucoup de cloisons de verre à l'intérieur. La lumière a sa place partout et le regard peut se perdre dans les volumes intérieurs, ouvrant des perspectives parfois inattendues. Je vais devoir contredire Nageurfélin, ce qui ne me rassure pas trop, mais le tourniquet d'entrée a parfaitement lu mon abonnement, qui n'a pourtant ni été pris, ni été renouvelé sur place. Pourtant, je ne suis pas une star des bassins...


    Le bassin est très bien aussi, en inox (j'aime !) et avec une eau bien fraîche qui m'a immédiatement sortie de ma torpeur dominicale. Ceci dit, je devine qu'il doit avoir du mal à absorber les pics de fréquentation et que la question des horaires est assez critique dans cette piscine. J'ai eu du bol, j'ai casé ma séance pile dans un creux de fréquentation, ça se remplissait à mon départ. Très bonne séance, axée sur l'alignement, le gainage et le placement de la respiration et quelques séries. Je ne sais pas si c'était dû à cet environnement nouveau, mais j'ai été prise de boulimie de longueurs et j'ai fait plus que l'entraînement prévu. Mais qui veut aller loin ménage sa monture, donc stop aux 3.1 km.

    Et puis de toute façon, le clou de la séance, ce fut of course le passage dans le bain à bulles, à la fin. Oh, le bain à bulles... ooooooh le bain à bulles couplé à la montée des endorphines... il m'a fallu une grue pour m'arracher, sinon je restais là jusqu'à l'heure de fermeture...
  • 2850 mètres le mercredi 16 avril (de 13h05 à 14h25) à Piscine Château Landon (Paris) - Début de journée agité. Le soleil et le magnifique ciel bleu m'ont donné des envies de musarder et de profiter de l'instant présent en toute quiétude... jusqu'au moment du rappel à l'ordre. Le toréador perché depuis peu sur mon épaule droite m'a soudain chuchoté à l'oreille : "Que nenni ma fille, l'heure n'est pas aux futilités, mais à la Responsabilité et à la Solidarité pour des lendemains qui chantent", m'évoquant brièvement la vision hautement anxiogène de ces deux banderilles supplémentaires plantées dans l'échine pourtant déjà sanglante du taureau commun... et dont je vois les ravages tous les jours dans le cadre de mon boulot... mais je m'égare complètement, là.

    Tout ceci pour dire que la séance programmée à Hébert pour aujourd'hui n'était pas de trop pour me détendre, mais hélas, la dure réalité m'a rattrapée sitôt sur place. J'ai découvert que Bébert a succombé elle aussi à l'épidémie de vidanges qui frappe cycliquement les piscines parisiennes... A la vue du portail fermé à la chaîne et au cadenas, j'ai eu ma deuxième crise d'anxiété de la journée, celle-là bien connue de tout nageur brutalement confronté à la menace de ne pas pouvoir prendre sa dose de chlore au moment précis où il en a besoin. Où est-ce que je vais bien pouvoir nager ??? La logique aurait voulu que j'aille aux Amiraux, la plus proche géographiquement, mais faire un entraînement prévu pour un bassin de 25m dans une piscine de 33 avec en plus des lignes pas assez larges pour doubler n'était pas une perspective très engageante.

    Direction Château-Landon donc, où je n'ai pas remis les pieds depuis septembre, en essayant fébrilement de me souvenir si cette pistoche était parmi les valides ou pas. Le suspense fut complet jusque devant l'entrée... ouf, ouverte !!! Et très peu de monde. Excellente séance de reprise, retrouvé de très bonnes sensations dans toutes les nages, notamment un dos fluide, du moins tant que je garde ma concentration.. Ligne partagée en toute intelligence avec un nageur très courtois, nous ne nous sommes pas gênés une seule fois en 45mn de ligne commune, jusqu'au moment où une méduse a choisi de s'incruster, brisant net cette belle harmonie. Pourtant les individus de son genre étaient clairement parqués dans les deux lignes d'à côté... Donc fin de séance pimentée par quelques dépassements.

    ça se remplissait quand je suis partie, apparemment j'étais sur le bon créneau horaire. J'ai croisé un très vieux monsieur que je côtoyais quand je nageais ici, le revoir m'a fait plaisir.
  • 1500 mètres le dimanche 13 avril (de 10h20 à 11h15) à Piscine du domaine Universitaire (Saint Martin d'Heres) - Première séance dans cette piscine. Séance casée à l'arrache, en plus écourtée par mon errance sur le grand et beau domaine universitaire de Saint-Martin d'Hères, obligée d'activer le GPS de mon iPhone pour repérer la piscine dont l'entrée est assez discrète et peu signalée... Une fois à l'intérieur, ça m'a fait penser à la piscine de Nanterre U, même architecture vieillotte mais propre dans l'entrée et les vestiaires. Du coup, je crois que je m'attendais inconsciemment à retrouver les mêmes immenses ouvertures qu'à NU, mais donnant cette fois sur la chaîne de Belledonne... ou de la Chartreuse, je ne sais jamais... bref ! D'où une certaine déception en découvrant le bassin : un beau 50m avec 6 lignes et coupe-vagues partout, certes, mais des ouvertures assez étriquées sur un environnement pourtant magnifique et finalement pas tant de lumière que ça.
    ça ne m'a pas empêchée de faire une bonne séance bien que définitivement trop courte. L'eau était très claire mais polluée par des touffes de cheveux en nombre, heureusement au fond du bassin, et des particules en suspension agitées par chaque passage de nageur, une jolie danse que je regardais du coin de la lunette. M'est avis que la prochaine vidange est pour bientôt... Un peu de fréquentation, ambiance plutôt sportive en ce dimanche matin, mais tout à fait détendue. Bref, une piscine plutôt fonctionnelle, mais NU n'a pas de souci à se faire, elle est et reste indétrônable...
  • 10 mètres le samedi 12 avril (de 09h45 à 11h00) à Piscine Doyen Gosse (La Tronche) - Séance régalante bébés nageurs avec mon neveu de 2 ans. Moments très privilégiés à le voir découvrir et à redécouvrir avec lui tout ce qui fait le plaisir d'être dans l'eau : la flottaison, l'immersion, le passage du corps-terre inscrit dans la pesanteur au corps-eau libéré de son poids et de ses contraintes aériennes. Bref, du bonheur à l'état pur qui m'a furieusement donné envie de nager. Vais-je réussir à caser une séance adulte nageur ce week-end, that is the question.
  • 1700 mètres le dimanche 6 avril (de 09h30 à 13h45) à Piscine de l'INSEP (Paris) - Il y a des jours comme ça qui sont un peu extraordinaires. Ce matin, nouvel atelier Natation pour tous crawl-dos, toujours en tant que bénévole. Pas de bus 112 pour aller à l'INSEP aujourd'hui pour cause de marathon de Paris. J'ai donc dû me faire la trotte Château de Vincennes - Insep à pied, en suivant très exactement le parcours des marathoniens, lesquels n'étaient pas encore passés par cette portion du trajet. Les badauds étaient nombreux et l'atmosphère celle d'une attente joyeuse et un peu électrique, qui m'a agréablement contaminée.

    Une fois à la piscine de l'Insep, mise à l'eau avec la plus grande circonspection après mes derniers essais non aboutis de retour à l'eau. Mais ces deux magnifiques lignes d'eau de 50m vides, s'étirant jusqu'à l'horizon du mur en présentant ce miroir d'eau limpide, étaient trop tentantes. Et ce fut la bonne, cette fois : pas de douleur avant, pendant ni après. Merveille des merveilles !!! Enfin pu allonger mon crawl, tirer fort sous l'eau, casser un peu le poignet en dos au moment de l'appui sans cette tension dans l'avant-bras.

    Mais le meilleur restait à venir. L'après-midi, j'ai retrouvé Grouchy et Nageurfélin dans des circonstances non piscinesques mais hautement artistiques. C'était la première fois que je rencontrais le félin bien connu du site. C'est curieux : on s'imagine les gens comme ci et comme ça et la réalité est toujours différente. J'ai découvert un chat du genre pattes de velours, tout en coussinets et en délicatesse, presque un peu timide... mais chuuut, je ne dis plus rien pour ne pas ruiner sa réputation sur ce site. Quant à Grouchy, il a fait entre autres la démonstration magistrale qu'il pouvait transformer une innocente frite de piscine en instrument de pression psychologique redoutable. Oui, les gens réservent toujours des surprises, c'est bien ce qui fait leur charme.
  • 1320 mètres le mardi 1 avril (de 11h30 à 13h15) à Piscine des Amiraux (Paris) - Je ne devrais pas être ici, je ne devrais pas être ici, voici le refrain que j'avais en tête pendant toute cette "séance". Non pas que je regrettais de faire un petit tour aux Amiraux, la piscine qui vit mes débuts de nageuse accro il y a 20 ans... mais parce que je sais que c'est encore trop tôt pour une reprise, certitude confirmée par les gros yeux du kiné quand je lui ai dit que j'avais du mal à rester éloignée des bassins.

    Mais c'était ça ou j'allais finir par déchiqueter à pleines dents le câble d'alimentation de mon ordinateur, ce qui serait embêtant... déjà que j'ai réussi à planter un clou dans le câble de la fibre, me privant du coup d'internet-téléphone-télé et provoquant l'hilarité des deux techniciens de France Telecom (pardon, d'Orange, FT n'existant plus officiellement) venus réparer. Pour une fois qu'ils ont des raisons de rigoler un peu, j'accepte volontiers d'en faire les frais...

    Séance qui ne ressemblait à rien donc, l'étape d'après, c'est l'aquagym, mais bon sang, qu'est-ce que c'était bien quand même ! Retrouvé avec plaisir cette piscine pleine de souvenirs, où il flotte toujours des odeurs de bouffe à cause de la proximité des appartements d'habitation.

 

Mars 2014 : (7650 m)
  • 1800 mètres le vendredi 28 mars (de 12h30 à 14h15) à Piscine de Nanterre Université - Première séance publique en compagnie de Grouchy qui a joué sans le savoir le rôle de dealer initiant une novice à une drogue dure. Nanterre-U, c'est autre chose qu'une simple piscine, c'est, je ne sais pas exactement, comme un cocon, un lieu à la sonorité paisible où le temps lui-même semble passer différemment, de manière plus ronde et plus pleine. L'oxygène aussi semblait d'une autre qualité qu'à l'extérieur, j'ai enchaîné deux 100m crawl en 5T alors que d'habitude c'est l'asphyxie au bout de 25m. Pourtant, c'est une journée de pollution aux particules fines...
    Bref, d'excellentes sensations bien que ça ait été une séance de reprise, prudemment terminée au réveil de la douleur dans l'avant-bras. Mais même ça ne m'empêchera pas de revenir très vite prendre une nouvelle dose de Nanterre-U...
  • 0 mètres le dimanche 16 mars (de 09h15 à 19h15) à Piscine de l'INSEP (Paris) - Belles photos de Grouchy qui montrent une piscine en train de naître et une autre inéluctablement condamnée à disparaître (tel est le destin des piscines provisoires...). La vie des piscines ressemble parfois à celles des humains.

    Atelier crawl/papillon de Natation pour tous : pas de longueurs dans une ligne privative cette fois, avant-bras contusionné encore trop douloureux pour s'y risquer. De toute façon, ma mission de bénévole ne me laissait guère le temps de me baquer. J'ai eu l'insigne honneur de filmer en extérieur tous les participants sur les deux nages pour la première fois. Je pensais qu'il suffisait d'allumer la caméra, de les laisser arriver et d'éteindre, et hop, le tour était joué. En fait, pas du tout. Il a fallu que je m'adapte au rythme de chaque nageur : ne pas déclencher la caméra n'importe quand, accompagner l'arrivée du nageur à mes pieds, ne pas couper en plein milieu du dernier mouvement, particulièrement pour le pap.

    Impression curieuse de rentrer dans l'intimité de la nage de chacun... mais les secrets restent bien gardés à NPT et ne sortent pas du confessionnal, heu, je veux dire de la salle de réunion où a lieu le débriefing avec les entraîneurs.
  • 2900 mètres le mercredi 12 mars (de 13h00 à 14h30) à Piscine Hébert (Paris) - Arrivée à la piscine très préoccupée par le boulot, mais aucun souci ne résiste à l'enchaînement patient des longueurs et la concentration sur la technique. J'aime la natation.

    Je l'ai un peu moins aimée après avoir percuté un crawleur qui doublait sans regarder devant, je crawlais moi aussi, mon avant-bras a cogné violemment le sien, je crois. Il s'est gentiment excusé. A cette heure, petit gonflement sur l'avant-bras et douleur chaque fois que je sollicite le muscle en dessous. Pourquoi les coups pris en natation sont-ils aussi douloureux ?!
  • 2950 mètres le jeudi 6 mars (de 11h45 à 13h10) à Piscine Hébert (Paris) - Oups, je constate qu'un mns d'Hébert (mais lequel ???) lit les séances postées ici... Va falloir que je fasse attention à ne pas dire trop de mal sur les mns...

    Aujourd'hui, les mns (justement) ont ouvert le toit pendant que je nageais le dos. J'ai mis deux secondes à comprendre que non, je ne faisais pas du surplace, c'était juste le toit qui se déplaçait en même temps que moi.

 

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