•3200 mètres le lundi 19 avril (de 19h25 à 20h30) à Piscine Suzanne Berlioux (Paris) - Ambiance "Bombay à l'heure de pointe" ce soir chez Suzanne. Tout y était: les camions encombrants et lents qui débordent, incapables de tenir leur droite; les rickshaws qui se faufilent rapidement en filant des coups de pieds pour s'arrêter en bout de ligne, terrassés par une crise d'asthme; et surtout les "vaches sacrées" qui nagent amplement la brasse dans la ligne de crawl et qui ne tolèrent pas le moindre effleurement. Et puis y avait moi qui contribuais à ma façon au bordel ambiant.
Ce qui nous amène au paradoxe de Berlioux: le remplissage du bassin est inversement proportionnel à celui du métro le matin. Moins il y a de monde dans le métro, plus il y en a dans la piscine ce qui semble vouloir dire que, bizarrement, en période de vacances le bassin est totalement saturé aux horaires pourtant favorisés par ceux qui bossent (comme ce soir). Quelqu'un a une explication ?
•3200 mètres le mercredi 17 mars (de 20h55 à 22h00) à Piscine Suzanne Berlioux (Paris) - Retour chez la Suzanne après avoir redécouvert le plaisir de nager dans une piscine de province. Pas mal de monde, mais grâce à l'heure tardive ça restait correct. Mention spéciale aux deux berniques qui discutaient tranquillement au bout de la ligne crawl, gênant les demi-tours et provoquant des collisions.
•3200 mètres le mercredi 10 mars (de 19h24 à 20h29) à Piscine Suzanne Berlioux (Paris) - Jamais vu autant de monde dans la ligne crawl depuis que je fréquente Suzanne Berlioux (environ 6 mois). Ambiance périph à l'heure de pointe, crampes en prime. Les cours qui monopolisent 2 lignes contribuent largement à la surfréquentation des autres lignes, mais la grève de certaines piscines parisienne a aussi dû jouer un rôle.