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Soboky, 47 ans, femme, PARIS

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Séances

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Septembre 2011 : (3106 m)

• 950 mètres le vendredi 30 septembre (de 12h40 à 13h15) à Piscine Bertrand Dauvin (Paris) - pas de commentaire
• 1056 mètres le mardi 20 septembre (de 11h40 à 12h20) à Piscine des Amiraux (Paris) - pas de commentaire
• 1100 mètres le mercredi 14 septembre (de 14h45 à 15h30) à Piscine Bertrand Dauvin (Paris) - On est mercredi après midi, il fait beau mais ce n'est pas surpeuplé.

La dernière fois, il m'avait suffit de montrer un bout d'attestation Pôle Emploi pliée en quatre pour qu'on me donne mon entrée gratuite, aujourd'hui, au moment où j'arrive en caisse le charmant monsieur me donne un ticket abonné (je ne viens pourtant pas si souvent qu'il se souvienne de moi !). Je lui explique que je suis chômeuse, que j'ai mon attestation dans mon sac, il me dit que ça ne fait rien et je prends le ticket abonné. (cela n'a l'air de rien , mais quand j'allais à G Vallerey mona attestation était systématiquement scrutée et parfois on m'a refusé l'entrée car elle datait d'un mois et quelques jours. Je comprends que les gens fassent leur travail, mais quand ils sont cools, c'est vraiment sympa).

Aout 2011 : (3131 m)

• 1025 mètres le dimanche 21 aout (de 16h40 à 17h20) à Piscine Bertrand Dauvin (Paris) - Pas trop de monde pour un dimanche après-midi car, comme il fait un temps superbe, tout le monde est au solarium. Ça se gâte à sa fermeture, 15 minutes avant celle des bassins. Débarquent des familles dans le grand bain qui viennent finir leur séance avec enfants (le petit bain est pourtant ouvert). J'abandonne alors le dos crawlé pour la brasse.
Je n'avais pas pensé à ce que dit Niconocturne à propos de la perspective pour se repérer en dos. J'essayerai car dans cette piscine, d'un des deux côtés, je heurte régulièrement le bord (je dois être trop habituée aux 33m des Amiraux). Merci pour le truc.
• 1056 mètres le lundi 8 aout (de 17h05 à 17h45) à Piscine des Amiraux (Paris) - Expérience très désagréable en fin de séance :
Je sors des douches, personne pour m'ouvrir mon vestiaire (impossible de l'ouvrir seule dans cette piscine). Il y a pourtant deux agents, mais ils sont en grande discussion avec les maîtres nageurs, ils rigolent et soufflent à tour de rôle dans une petite corne de brume de carnaval. J'attends un peu, puis je fais un signe, j'appelle "Est-ce que quelqu'un peut venir m'ouvrir mon vestiaire s'il vous-plaît ?" L'un des agents me dit qu'il arrive, fait quelques pas puis revient discuter avec les autres. J'attends encore, je me sèche avec ma serviette mais mon maillot une-pièce mouillé commence vraiment à me glacer le ventre. J'appelle de nouveau, cette fois c'est l'autre agent qui se décide à venir.
Il monte à mon étage, arrive sans un mot d'excuse, enclenche sa clé dans la porte de mon vestiaire mais sans l'ouvrir. Il se tourne alors vers moi pour me dire "Mais faut penser aux vacances vous savez !" Il articule avec difficulté. Je réponds "Excusez-moi mais j'ai froid, vous pouvez m'ouvrir mon vestiaire ?" "Oui, j'vais vous ouvrir votre vestiaire, mais faut penser aux vacances, vous savez !" "J'ai froid, vous pouvez ouvrir ?"
Il finit enfin par ouvrir, je m'engouffre dans la cabine pour ôter mon maillot et me sécher. Je l'entends crier deux ou trois fois "L'été sera chaud !"
Je ne me suis pas approchée de lui suffisamment pour sentir son haleine, mais vu ses difficultés d'élocution, je pense qu'il avait bu.
• 1050 mètres le mercredi 3 aout (de 15h15 à 16h00) à Piscine Bertrand Dauvin (Paris) - Fuyant la surpopulation des Amiraux, je vais dans cette piscine tout à la périphérie de Paris. Sur les cinq lignes, deux sont réunies pour la nage libre, avec un petit groupe de jeunes qui essayent de se noyer mutuellement. Des trois lignes restantes, il y en a toujours une pas trop occupée où je ne suis qu'avec un ou deux autres nageurs; C'est plutôt agréable, surtout quand nous sommes trois à faire du dos (Bonheur !). L'acoustique particulièrement travaillée du lieux, avec des murs qui absorbent les bruits, renforce l'impression de calme. Il faut que je vienne ici plus souvent.