Bonjour,
je profite des vacances pour nager en mer. Je n'ai pas de difficultés particulières pour nager le crawl, mais dès que je m'éloigne suffisamment du bord et que je n'ai plus pied, le stress monte. Un ami qui vit dans le coin et nage en mer depuis son plus jeune âge, n'a aucun souci. Il part loin (au-delà de la zone de baignade) et revient 30 minutes plus tard. Je ne sais pas trop comment vaincre cette appréhension. Je me dis toujours qu'en cas de crampe ou autre souci, je suis seul. Pour l'instant je me contente de longer le rivage dans une zone ou la profondeur ne semble pas dépasser 2 m.
Auriez-vous des conseils à me donner ?
je profite des vacances pour nager en mer. Je n'ai pas de difficultés particulières pour nager le crawl, mais dès que je m'éloigne suffisamment du bord et que je n'ai plus pied, le stress monte. Un ami qui vit dans le coin et nage en mer depuis son plus jeune âge, n'a aucun souci. Il part loin (au-delà de la zone de baignade) et revient 30 minutes plus tard. Je ne sais pas trop comment vaincre cette appréhension. Je me dis toujours qu'en cas de crampe ou autre souci, je suis seul. Pour l'instant je me contente de longer le rivage dans une zone ou la profondeur ne semble pas dépasser 2 m.
Auriez-vous des conseils à me donner ?
22 commentaires
Bonjour,
Pour te rassurer tu peux nager dans une plage surveillée et aller jusqu’aux délimitations de la zone de baignade, selon les plages cela permet déjà de pas mal s’éloigner du bord, tout en étant visible des sauveteurs en cas de soucis.
Tu peux aussi envisager de t’inscrire à une course d’eau libre en mer, certaines se font bien loin de la plage, avec une équipe qui veille à la sécurité des participants. Si cela se passe bien cela augmentera ta confiance en toi pour partir ensuite en solo plus loin du bord.
Éventuellement faire une sortie avec ton ami si tu as un niveau de natation suffisant et qu’il soit bienveillant de rester à côté de toi tout le temps (dans ce cas tu peux en plus investir dans une bouée de nage sur laquelle tu pourras t’aggriper en cas de soucis).
Compléter par de la nage en piscine pour améliorer la technique et l’endurance en toute confiance dans l’eau chlorée.
Christophe
Pour te rassurer tu peux nager dans une plage surveillée et aller jusqu’aux délimitations de la zone de baignade, selon les plages cela permet déjà de pas mal s’éloigner du bord, tout en étant visible des sauveteurs en cas de soucis.
Tu peux aussi envisager de t’inscrire à une course d’eau libre en mer, certaines se font bien loin de la plage, avec une équipe qui veille à la sécurité des participants. Si cela se passe bien cela augmentera ta confiance en toi pour partir ensuite en solo plus loin du bord.
Éventuellement faire une sortie avec ton ami si tu as un niveau de natation suffisant et qu’il soit bienveillant de rester à côté de toi tout le temps (dans ce cas tu peux en plus investir dans une bouée de nage sur laquelle tu pourras t’aggriper en cas de soucis).
Compléter par de la nage en piscine pour améliorer la technique et l’endurance en toute confiance dans l’eau chlorée.
Christophe
honnêtement la crampe c'est de la sous hydratation et du manque d'entrainement rien d'autre
Suite à une petite mésaventure en Sicile a cause du courant, j'ai toujours une petite appréhension. Mais en général j'essaye de rester à moins de 300m du rivage. Et je nage toujours avec une bouée, histoire me signaler, et quand je vais seul à la plage j'y mets mes papiers.
Et dans cette bande, là où je nage, il y a entre 3 et 4 m de profondeur.
Mais oui, quand on est seul c'est pas évident, la peur du malaise, la crampe (c'est gérable, j'ai fait mon premier monte cristo avec une crampe dans une cuisse et une autre dans le mollet à l'arrivée.
Ma crainte, c'est surtout les piqures de méduse, ayant des allergies je n'ai aucune idée de comment mon corps réagira. mais pour le moment, ca fait plusieurs années que je n'en vois plus dans mes spots bastiais.
Et dans cette bande, là où je nage, il y a entre 3 et 4 m de profondeur.
Mais oui, quand on est seul c'est pas évident, la peur du malaise, la crampe (c'est gérable, j'ai fait mon premier monte cristo avec une crampe dans une cuisse et une autre dans le mollet à l'arrivée.
Ma crainte, c'est surtout les piqures de méduse, ayant des allergies je n'ai aucune idée de comment mon corps réagira. mais pour le moment, ca fait plusieurs années que je n'en vois plus dans mes spots bastiais.
Valmy
> 4 ans
J’appréhende aussi. je crois que c'est naturel.
La mer n'est pas notre écosystème, on a donc peur.
Oui, comme dit plus haut, rester dans la zone surveillée, prendre une bouée, nager à 2 c'est rassurant.
Personnellement, j'évite de forcer en mer, je fais de l'endurance tranquille et quand je veux accélérer un peu, je le fais près du rivage.
Je veux éviter la fatigue au large ou la crampe.
La mer n'est pas notre écosystème, on a donc peur.
Oui, comme dit plus haut, rester dans la zone surveillée, prendre une bouée, nager à 2 c'est rassurant.
Personnellement, j'évite de forcer en mer, je fais de l'endurance tranquille et quand je veux accélérer un peu, je le fais près du rivage.
Je veux éviter la fatigue au large ou la crampe.
je plussoie totalement
La distance par rapport à la côte et la profondeur ne me semblent pas si dangereux que peut l'être le courant, principal danger.
Nager en eau profonde (à partir de 15-20 m de profondeur), procure la sensation d'être seul au monde (à moindre frais en comparaison de l'alpinisme).
Ce qui me fait le plus peur quand je dépasse les limites de baignade, ce sont les "kite-surfeurs" et leurs "foils", qui foncent à 40 km/h.
Nager en eau profonde (à partir de 15-20 m de profondeur), procure la sensation d'être seul au monde (à moindre frais en comparaison de l'alpinisme).
Ce qui me fait le plus peur quand je dépasse les limites de baignade, ce sont les "kite-surfeurs" et leurs "foils", qui foncent à 40 km/h.
Nager en mer peut être vraiment dangereux.
Le pire danger, ce sont les baateaux, jet skis et autres engins à moteur. Je me souviens avoir nagé à Cefalu, en Sicile, et être allé chercher un peu de profondeur assez loin du rivage. Un gros bateau à moteur est passé entre le rivage et moi.
Un autre danger est le froid. Il est facile de prendre froid quand on nage en maillot de bain, même en plein été. Le shorty est vivement à recommander, d'autant plus qu'il augmente la flottabilité.
J'ai passé 4 semaines en Croatie cet été, j'avais l'équipement suivant: shorty + masque + tuba + palmes + chaussons de rocher + gants (les gants sont parfois indispensables !).
Le pire danger, ce sont les baateaux, jet skis et autres engins à moteur. Je me souviens avoir nagé à Cefalu, en Sicile, et être allé chercher un peu de profondeur assez loin du rivage. Un gros bateau à moteur est passé entre le rivage et moi.
Un autre danger est le froid. Il est facile de prendre froid quand on nage en maillot de bain, même en plein été. Le shorty est vivement à recommander, d'autant plus qu'il augmente la flottabilité.
J'ai passé 4 semaines en Croatie cet été, j'avais l'équipement suivant: shorty + masque + tuba + palmes + chaussons de rocher + gants (les gants sont parfois indispensables !).
En effet s’il y a un bateau entre vous et le rivage, il faut éviter de passer dans sa trajectoire, même si dans la bande des 300m ils n’ont a priori rien à faire là.
La recommandation des nageurs en eau froide (mer ou lacs d'altitude) est de régler la longueur de ses séances sur la température de l'eau de la façon suivante : 15 min dans une eau à 15°C, 10 min dans une eau à 10°C, etc., car en effet la paralysie due au refroidissement est assez soudaine.
- Il est donc utile de nager avec une montre étanche.
- La séance peut être rallongée dès lors que l'on commence à avoir de l'expérience.
Je ne sais pas trop quoi penser de la remarque sur les gants et chaussons. De mon point de vue, il faut choisir une zone de baignade SANS AUCUN rocher. La seule raison de s'approcher des rochers, c'est quand on pratique la pêche sous-marine en apnée, et là c'est un sport différent, qui requiert un équipement et un entraînement différents.
L'environnement côtier est dangereux, il tue chaque année, principalement des touristes qui ne le connaissent pas (chutes de falaises, baignades exposées au courant ou près des rochers, plongeons risqués).
- Il est donc utile de nager avec une montre étanche.
- La séance peut être rallongée dès lors que l'on commence à avoir de l'expérience.
Je ne sais pas trop quoi penser de la remarque sur les gants et chaussons. De mon point de vue, il faut choisir une zone de baignade SANS AUCUN rocher. La seule raison de s'approcher des rochers, c'est quand on pratique la pêche sous-marine en apnée, et là c'est un sport différent, qui requiert un équipement et un entraînement différents.
L'environnement côtier est dangereux, il tue chaque année, principalement des touristes qui ne le connaissent pas (chutes de falaises, baignades exposées au courant ou près des rochers, plongeons risqués).
En Croatie, il n'y a que des rochers ! La plupart des plages sont cimentées sur des rochers et il faut des échelles pour accéder à la mer. Les chaussons de rochers sont indispensables et les gants sont les bienvenus. Je me suis légèrement blessé à la main cet été suite à une vague qui m'a projeté sur des rochers coupants.
Oui, on peut se faire découper par les rochers sans même s'en rendre compte, car l'eau froide anesthésie l'épiderme ; coupures superficielles, mais risque d'infection ensuite.
Le plus dangereux ce sont les vagues qui projettent sur les rochers, noyant parfois des plongeurs expérimentés après les avoir assommés.
Le plus dangereux ce sont les vagues qui projettent sur les rochers, noyant parfois des plongeurs expérimentés après les avoir assommés.
J'ai fait une nage de 1.4 km sur l'íle de Koločep en Croatie. Aller-retour plage de Placet - Blue Cave.
J'ai nagé avec un jeune Croate. Nous étions accompagnés de nos compagnes respectives.
Sa compagne et lui nageaient en simple maillot de bain, sans chaussons de rochers, ce qui m'a surpris. J'ai proposé au moins 5 fois à sa jeune compagne mes chaussons de rochers, sachant que, pour ma part, je chaussais les palmes. Elle a décliné l'offre. Mes chaussons étaient trop petits par ailleurs pour lui.
J'en avais conclu que les Croates avaient, par sélection naturelle, des plantes de pieds différentes des Français et des Américains.
Après notre aller-retour de 1.4 km à 2 nageurs, j'ai accompagné sa compagne dans une petite cave plus proche. J'avais mes palmes et elle était pieds nus, ayant décliné avec insistance mon offre de chaussons de rochers.
Le retour s'est avéré délicat... je lui ai dit de bien me suivre et de faire comme moi... j'ai flotté bien horizontalement jusqu'à une profondeur de 30 cm, en avançant avec les bras, en regardant bien gràce à mon masque où je mettais les mains... je n'avais pas encore acheté des gants...
Cette jeune Croate, au lieu de me suivre en flottant horizontalement comme moi, a fait l'erreur de se mettre debout trop tòt sans voir où elle mettait les pieds...
Aïe aïe aïe ! Elle a marché sur des oursins et a récupéré plusieurs épines dans ses pieds... et elle les a gardées plusieurs semaines...
J'en ai déduit que les Croates avaient bien les mêmes pieds que nous...
La fois suivante, quand je lui ai proposé mes chaussons de rochers, elle les a acceptés.
En Croatie, chaussons et gants sont indispensables.
J'ai nagé avec un jeune Croate. Nous étions accompagnés de nos compagnes respectives.
Sa compagne et lui nageaient en simple maillot de bain, sans chaussons de rochers, ce qui m'a surpris. J'ai proposé au moins 5 fois à sa jeune compagne mes chaussons de rochers, sachant que, pour ma part, je chaussais les palmes. Elle a décliné l'offre. Mes chaussons étaient trop petits par ailleurs pour lui.
J'en avais conclu que les Croates avaient, par sélection naturelle, des plantes de pieds différentes des Français et des Américains.
Après notre aller-retour de 1.4 km à 2 nageurs, j'ai accompagné sa compagne dans une petite cave plus proche. J'avais mes palmes et elle était pieds nus, ayant décliné avec insistance mon offre de chaussons de rochers.
Le retour s'est avéré délicat... je lui ai dit de bien me suivre et de faire comme moi... j'ai flotté bien horizontalement jusqu'à une profondeur de 30 cm, en avançant avec les bras, en regardant bien gràce à mon masque où je mettais les mains... je n'avais pas encore acheté des gants...
Cette jeune Croate, au lieu de me suivre en flottant horizontalement comme moi, a fait l'erreur de se mettre debout trop tòt sans voir où elle mettait les pieds...
Aïe aïe aïe ! Elle a marché sur des oursins et a récupéré plusieurs épines dans ses pieds... et elle les a gardées plusieurs semaines...
J'en ai déduit que les Croates avaient bien les mêmes pieds que nous...
La fois suivante, quand je lui ai proposé mes chaussons de rochers, elle les a acceptés.
En Croatie, chaussons et gants sont indispensables.
Bonjour,
Je plonge, chasse, et surtout nage en mer (Finistère-eau à 16/17° en été) depuis 45 ans. J'ai testé toutes sortes de combinaisons. Celle qui est ma préférée pour nager en mer est, sans conteste, l'ensemble pantalon+veste de chasse 3mm en refendu (non doublée à l'intérieur). Le petit inconvénient est qu'on doit l'enfiler avec un peu d'eau et du shampoing, mais le gros avantage, c'est qu'on peut nager des heures sans échauffement cutané. J'ai aussi testé avec bonheur la veste seule aux Antilles. Nager à vue dans la zone des 5/6 mètres, en Bretagne, permet d'admirer la faune et la flore sous-marine (au-delà, on ne voit plus grand chose) et c'est bien rare quand je ne ramène pas de crabe, homard ou poisson plat. Etre bien signalé (bonnet orange fluo + bouée ou planche) et une bonne connaissance des marées permettent d'éviter le stress.
Si mon expérience de vieux birbe peut servir à quelqu'un, j'en serai heureux.
Je plonge, chasse, et surtout nage en mer (Finistère-eau à 16/17° en été) depuis 45 ans. J'ai testé toutes sortes de combinaisons. Celle qui est ma préférée pour nager en mer est, sans conteste, l'ensemble pantalon+veste de chasse 3mm en refendu (non doublée à l'intérieur). Le petit inconvénient est qu'on doit l'enfiler avec un peu d'eau et du shampoing, mais le gros avantage, c'est qu'on peut nager des heures sans échauffement cutané. J'ai aussi testé avec bonheur la veste seule aux Antilles. Nager à vue dans la zone des 5/6 mètres, en Bretagne, permet d'admirer la faune et la flore sous-marine (au-delà, on ne voit plus grand chose) et c'est bien rare quand je ne ramène pas de crabe, homard ou poisson plat. Etre bien signalé (bonnet orange fluo + bouée ou planche) et une bonne connaissance des marées permettent d'éviter le stress.
Si mon expérience de vieux birbe peut servir à quelqu'un, j'en serai heureux.
Bonjour !
Etant désormais à Nice je me suis lancée dans la nage en mer après deux séances de piscine olympique pour me remettre dans le bain (!).
Je vais à la plage des Bains Militaires, vers la Réserve, pour ceux qui connaissent (c'est tout con c'est la plus proche donc c'est pratique).
Je suis un peu un cas particulier car même en piscine je nage à 90% avec des palmes et une planche, car je veux faire travailler le bas du corps.
Je me suis achetée une planche pour la mer du coup, en plus on peut se reposer dessus quand on est fatigué.
J'y vais également avec un bonnet même si j'ai l'air con mais les cheveux qui flottent et qui reviennent plein de sel non merci !
Les deux premières séances pas de souci juste une grosse fatigue !! Je n'ai pas de montre étanche du coup j'ai fait au pif je dirais environ 30 minutes de nage mais forcément avec la planche c'est plus facile que le crawl pour la respiration.
Je fais des AR entre la plage et le rivage et je longe un peu la côte.
J'ai trouvé que ça donnait très soif (gout du sel en plus, ça par contre je supporte mal) alors je veux pouvoir revenir boire un peu.
Lunettes pour voir un peu ce qu'il y a en dessous, il y a quelques rochers, poissons...
J'ai trouvé les sensations meilleures qu'en piscine ! Air libre eau plus fraiche moins de monde au large.
Les deux premières fois mer assez calme enfin le clapotis mais pas de souci !
Par contre hier beaucoup de vague, je n'ai pas pu nager en fait, pas pu avancer même de quelques mètres j'étais plaquée au fond, et j'ai connement perdu mes lunettes (maintenant j'en ai plus même pour la piscine )
Je n'aurais pas du tenter mais je voulais me rafraichir un peu.
Je prends conscience des difficultés en effet.
C'est bien quand c'est calme, c'est juste plus fatigant, il ne faut pas trop s'éloigner et il faut s'écouter, mais dès qu'il y a un peu de vent on oublie !
Pour l'hiver j'ai le projet de prendre une combi le temps voulu. Mon but n'est pas de faire de grosses performances mais de me faire plaisir, bouger les jambes pour activer la circulation car j'ai des soucis à ce niveau là et apparemment la mer c'est mieux que la la piscine pour la santé !
Etant désormais à Nice je me suis lancée dans la nage en mer après deux séances de piscine olympique pour me remettre dans le bain (!).
Je vais à la plage des Bains Militaires, vers la Réserve, pour ceux qui connaissent (c'est tout con c'est la plus proche donc c'est pratique).
Je suis un peu un cas particulier car même en piscine je nage à 90% avec des palmes et une planche, car je veux faire travailler le bas du corps.
Je me suis achetée une planche pour la mer du coup, en plus on peut se reposer dessus quand on est fatigué.
J'y vais également avec un bonnet même si j'ai l'air con mais les cheveux qui flottent et qui reviennent plein de sel non merci !
Les deux premières séances pas de souci juste une grosse fatigue !! Je n'ai pas de montre étanche du coup j'ai fait au pif je dirais environ 30 minutes de nage mais forcément avec la planche c'est plus facile que le crawl pour la respiration.
Je fais des AR entre la plage et le rivage et je longe un peu la côte.
J'ai trouvé que ça donnait très soif (gout du sel en plus, ça par contre je supporte mal) alors je veux pouvoir revenir boire un peu.
Lunettes pour voir un peu ce qu'il y a en dessous, il y a quelques rochers, poissons...
J'ai trouvé les sensations meilleures qu'en piscine ! Air libre eau plus fraiche moins de monde au large.
Les deux premières fois mer assez calme enfin le clapotis mais pas de souci !
Par contre hier beaucoup de vague, je n'ai pas pu nager en fait, pas pu avancer même de quelques mètres j'étais plaquée au fond, et j'ai connement perdu mes lunettes (maintenant j'en ai plus même pour la piscine )
Je n'aurais pas du tenter mais je voulais me rafraichir un peu.
Je prends conscience des difficultés en effet.
C'est bien quand c'est calme, c'est juste plus fatigant, il ne faut pas trop s'éloigner et il faut s'écouter, mais dès qu'il y a un peu de vent on oublie !
Pour l'hiver j'ai le projet de prendre une combi le temps voulu. Mon but n'est pas de faire de grosses performances mais de me faire plaisir, bouger les jambes pour activer la circulation car j'ai des soucis à ce niveau là et apparemment la mer c'est mieux que la la piscine pour la santé !
la mer c'est mieux que la la piscine pour la santé !
pas sûr d'être aussi affirmatif quand tu lis les relevés faits sur le littoral français c'est plutot assez crade
pas sûr d'être aussi affirmatif quand tu lis les relevés faits sur le littoral français c'est plutot assez crade
Certes, je parlais plutôt de l'action de nager dans l'eau de mer ! Apparemment elle a des propriétés apaisantes, aide mieux à lutter contre la rétention d'eau etc
Aujourd'hui retour à la piscine, hum au début après avoir connu la mer ça parait pas top. Il y a d'autres avantages ceci dit.
Aujourd'hui retour à la piscine, hum au début après avoir connu la mer ça parait pas top. Il y a d'autres avantages ceci dit.
Autre séance en mer hier, il y avait un peu de houle. Pour nager ça allait mais je sais pas si c'est à cause de ça, j'ai eu quelques vertiges. j'ai le mal des transports, je trouvais que ça "tanguais", j'étais pas très bien, j'ai préféré arrêter, je me demandais si j'allais atteindre la plage correctement !
J'ai aussi un torticolis et mal au crâne, peut-être que ça n'aide pas.
Décidément, pas facile la nager en mer!
J'ai aussi un torticolis et mal au crâne, peut-être que ça n'aide pas.
Décidément, pas facile la nager en mer!
La houle donne le mal de mer. Je l'ai lu des nageurs qui traversent la Manche.
la nage a priori donne peu le mal de mer à condition peut être de ne pas passer trop de temps la tête hors de l'eau, en nageant à allure régulière (un peu plus vite que la houle) là l'oreille interne ne doit pas vraiment se dissocier du regard quasi absent. par contre à faible vitesse, en s'arrêtant souvent en regardant souvent hors de l'eau oui la contradiction oreille interne/vision va s'accroitre...
J'ai globalement le mal des transports et régulièrement quelques vertiges et souvent des maux de tête.
Je précise que je nage avec palmes et surtout avec planche.
J'y suis retournée aujourd'hui, un peu de houle mais ça allait. Tête sous l'eau oui mais au final ça tangue quand même. C'était plus simple en restant tête hors de l'eau et regardant loin devant.
Après ça allait, j'ai nagé plus longtemps (peut-être 1h, je sais pas j'ai pas de montre étanche et je prends pas mon portable). J'ai fini sans planche pour mieux nager sous l'eau justement !
J'ai une assez bonne respiration sous l'eau, alors que sur terre je m'essouffle vite.
C'était pas mal ! Sympa de voir les poissons et pas les carreaux de la piscine !
Mais je vais éviter en cas de grosses vagues quand même.
Par contre ce sel me donne vraiment trop soif et même des heures après j'en ai encore le gout. Je sale plus mes aliments et j'évite globalement le sel (pour la rétention d'eau) alors ça me fait vraiment bizarre !
Je précise que je nage avec palmes et surtout avec planche.
J'y suis retournée aujourd'hui, un peu de houle mais ça allait. Tête sous l'eau oui mais au final ça tangue quand même. C'était plus simple en restant tête hors de l'eau et regardant loin devant.
Après ça allait, j'ai nagé plus longtemps (peut-être 1h, je sais pas j'ai pas de montre étanche et je prends pas mon portable). J'ai fini sans planche pour mieux nager sous l'eau justement !
J'ai une assez bonne respiration sous l'eau, alors que sur terre je m'essouffle vite.
C'était pas mal ! Sympa de voir les poissons et pas les carreaux de la piscine !
Mais je vais éviter en cas de grosses vagues quand même.
Par contre ce sel me donne vraiment trop soif et même des heures après j'en ai encore le gout. Je sale plus mes aliments et j'évite globalement le sel (pour la rétention d'eau) alors ça me fait vraiment bizarre !
Et bien j'y suis retournée souvent, je nage de plus en plus loin, j'adore !
Ces derniers temps la mer était calme, il fait bon, on voit bien le fond (tant que c'est pas trop profond), je suis parfois en mode nage dynamique parfois en mode plus tranquille genre "snorkeling" (masque mais pas de tuba).
J'arrive à nager plus d'une heure, c'est pas mal (je ne cherche pas non plus la super performance).
C'est tellement mieux que la piscine !
Je nage avec et sans planche, toujours avec de petites palmes.
J'espère trouver une combinaison adaptée pour nager l'hiver !
Ces derniers temps la mer était calme, il fait bon, on voit bien le fond (tant que c'est pas trop profond), je suis parfois en mode nage dynamique parfois en mode plus tranquille genre "snorkeling" (masque mais pas de tuba).
J'arrive à nager plus d'une heure, c'est pas mal (je ne cherche pas non plus la super performance).
C'est tellement mieux que la piscine !
Je nage avec et sans planche, toujours avec de petites palmes.
J'espère trouver une combinaison adaptée pour nager l'hiver !
Oui c'est tellement mieux que la piscine.
Par contre effectivement cela peut être très dangereux car les conditions sont changeantes d'un endroit à l'autre. En mer, il n'y a pas de standard comme dans une piscine. Il faut connaître sa plage et l'évolution des conditions en fonction de la houle, des marées, de la température de l'eau (souvent plus fraiche au large que sur les côtes).
Il ne faut jamais partir au large seul sur une plage que vous ne connaissez pas même si vous êtes un excellent nageur. C'est la règle numéro 1. Vous pouvez tomber sur un courant, avoir froid et paniquer. La première règle, c'est de prendre le temps de connaître là ou vous allez nager. Une fois que vous connaissez le domaine, pas de souci, il reste à vous connaître vous.
A marée basse ou pire marée descendante, on peut aussi facilement s'ouvrir la jambe sur un rocher. Cela m'est arrivé cet automne en me mettant à l'eau pourtant sur une plage que je connaissais par cœur dans un endroit ou je savais qu'il y avait des rochers mais la mer descendante les cachait et on n'y pense plus. Ils se sont rappelés à moi salement et, effectivement on ne sent pas grand chose, l'eau fraiche anesthésie, j'ai continué à nager et quand je suis sorti ça pissait le sang de partout.
Et puis il y a les planches, les jet skis, les wind surfs, etc. et là aussi il faut bien savoir où ils passent pour éviter de s'en prendre un.
Dernière chose, les repères, on apprécie mal les distances en mer et il faut penser au retour. Au début on est bien, on avance mécaniquement sans effort sans froid, c'est génial, mais à un moment ou un autre le froid arrive et la fatigue aussi. Et si on est à plusieurs km du bord avec le courant ou la houle contre, il faudra revenir et de la plage très difficile de vous voir ou de savoir ou vous êtes.
Par contre effectivement cela peut être très dangereux car les conditions sont changeantes d'un endroit à l'autre. En mer, il n'y a pas de standard comme dans une piscine. Il faut connaître sa plage et l'évolution des conditions en fonction de la houle, des marées, de la température de l'eau (souvent plus fraiche au large que sur les côtes).
Il ne faut jamais partir au large seul sur une plage que vous ne connaissez pas même si vous êtes un excellent nageur. C'est la règle numéro 1. Vous pouvez tomber sur un courant, avoir froid et paniquer. La première règle, c'est de prendre le temps de connaître là ou vous allez nager. Une fois que vous connaissez le domaine, pas de souci, il reste à vous connaître vous.
A marée basse ou pire marée descendante, on peut aussi facilement s'ouvrir la jambe sur un rocher. Cela m'est arrivé cet automne en me mettant à l'eau pourtant sur une plage que je connaissais par cœur dans un endroit ou je savais qu'il y avait des rochers mais la mer descendante les cachait et on n'y pense plus. Ils se sont rappelés à moi salement et, effectivement on ne sent pas grand chose, l'eau fraiche anesthésie, j'ai continué à nager et quand je suis sorti ça pissait le sang de partout.
Et puis il y a les planches, les jet skis, les wind surfs, etc. et là aussi il faut bien savoir où ils passent pour éviter de s'en prendre un.
Dernière chose, les repères, on apprécie mal les distances en mer et il faut penser au retour. Au début on est bien, on avance mécaniquement sans effort sans froid, c'est génial, mais à un moment ou un autre le froid arrive et la fatigue aussi. Et si on est à plusieurs km du bord avec le courant ou la houle contre, il faudra revenir et de la plage très difficile de vous voir ou de savoir ou vous êtes.